L’OMS a franchi une nouvelle étape dans la lutte contre le mpox, autrefois appelé variole du singe. Mardi 19 novembre, elle a approuvé un second vaccin pour une utilisation d’urgence. Cela renforcera la protection des populations face à cette maladie en pleine expansion.
Le gouvernement envisage d’élargir la campagne de vaccination en milieu scolaire, en intégrant à la vaccination contre le papillomavirus (HPV) celle contre les infections invasives à méningocoques. L’Assurance-maladie prendra désormais en charge à 100 % ce dernier vaccin, une première.
Pour faire face aux virus, une campagne de vaccination simultanée est organisée chaque année à partir d’octobre, en métropole.
Alors que le mpox, appelé auparavant variole du singe, se propage de plus en plus en Afrique, un vaccin expérimental à ARN messager développé par Moderna pourrait surpasser les vaccins actuels. Il réduirait plus efficacement les symptômes et la durée de la maladie.
Alors que le choléra, une infection diarrhéique aiguë potentiellement mortelle, frappe de plus en plus de régions à travers le monde, la lutte contre l’épidémie est sérieusement compromise par une pénurie critique de vaccins, alerte l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Ce manque pourrait aggraver considérablement la situation.
Certes, le fabricant du vaccin contre le Covid-19 Vaxzevria a admis que son produit entraînait des cas isolés de thromboses, mais a pris la décision de le retirer pour une autre raison.
Un nouveau vaccin universel contre les coronavirus pourrait-il voir le jour ? D’après un article paru le lundi 6 mai dans la revue Nature Nanotechnology, des chercheurs américains et britanniques semblent avoir développé un vaccin novateur qui pourrait offrir une protection contre ces virus.
Cet homme, originaire du centre de l’Allemagne, aurait reçu exactement 217 doses de vaccin contre le Covid-19. Il ne souffre d’aucun effet secondaire.
Une recherche internationale, rendue publique à la mi-février, a soulevé des préoccupations quant à une possible corrélation entre la vaccination anti-Covid-19 et divers problèmes de santé.
D’après une enquête menée par le bureau du contrôleur général du Brésil, l’ex-président Jair Bolsonaro a bénéficié d’un faux certificat de vaccin contre le Covid. Cette information suscite des interrogations sur l’intégrité du processus de vaccination dans le pays.
À l’approche des fêtes de fin d’année, les autorités sanitaires signalent une couverture vaccinale insuffisante.
Bien que sept incidents indésirables liés au vaccin contre le papillomavirus aient été enregistrés depuis le lancement de la campagne nationale auprès des élèves de cinquième, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé se veut rassurante. Elle a affirmé qu’aucun nouveau risque n’a été rapporté à ce jour.
Cet élève du collège Saint-Dominique de Saint-Herblain (près de Nantes) a fait un malaise après une vaccination contre le papillomavirus. Il a fait une lourde chute et a succombé à ses blessures.
Mercredi 3 mai, les autorités sanitaires américaines ont annoncé que les États-Unis ont approuvé un vaccin contre la bronchiolite pour les adultes de 60 ans et plus. C’est une première.
Cependant, l’enquête de l’Ipsos pour l’entreprise biopharmaceutique GSK révèle que le niveau de connaissance des Français sur les différents vaccins et sur leur propre statut vaccinal est préoccupant.
C’est le constat de l’Organisation mondiale de la santé et l’UNICEF. La vaccination est pourtant très importante durant les deux premières années de la vie de l’enfant.
Le jeudi 30 mars, la Haute Autorité de Santé recommande de "lever l’obligation de vaccination" contre la Covid-19, en vigueur depuis 18 mois pour les soignants et les autres professionnels qui sont concernés.
Le joueur de tennis serbe n’a pas obtenu d’exemption lui permettant d’entrer sur le territoire américain pour participer au Masters 1000 de Miami.
La Haute autorité de santé (HAS) souhaite intégrer la vaccination contre la grippe saisonnière au calendrier vaccinal, "sans la rendre obligatoire".
Cet essai de vaccin sur le virus respiratoire syncytial (VRS), responsable de la bronchiolite, a été réalisé chez les personnes âgées de 60 ans et plus. Les résultats intermédiaires sont positifs.
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