Cette information a été révélée le mercredi 30 octobre par le Collectif Les Morts de la Rue.
Dans la nuit du 19 août 2024, trente-neuf enfants se trouvaient sans abri dans les départements d’Outre-mer, une situation révélée par le sixième baromètre de l’UNICEF France et de la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS).
Des élus de la France Insoumise et d’EELV ont réalisé un geste fort pour tirer la sonnette d’alarme sur les conditions des sans-abris.
La crise frappe de plein fouet les mineurs. Des associations et des élus ont lancé un avertissement sur l’augmentation des enfants sans abri.
Au moins 1 990 enfants sont "sans solution d’hébergement avant la rentrée scolaire", ont averti l’Unicef France et la FAS. Ces entités ont demandé une nouvelle politique urgente au gouvernement.
Ce terrible drame s’est produit dans le 3e arrondissement de Marseille. Un homme d’une soixantaine d’années a été mortellement poignardé.
En 2021, plus de 600 personnes sans domicile fixe ont perdu la vie en France. Selon le collectif "Les morts de la rue", l’âge moyen de ces SDF morts, est de 48 ans.
Anne Marie âgée de 73 ans est SDF à Paris en métropole. Il y a quelques mois, elle a été agressée dans la rue par plusieurs individus. Les secours l’ont pris en charge, elle est toujours hospitalisée à l’hôpital Sainte Perine. Sa soeur, Télyne, souhaite qu’elle soit rappariée sur l’île.
Depuis plusieurs mois Myke, âgé de 40 ans, est à la rue. Nous l’avons rencontré près du collège Mille Roches à Saint-André. Avec une simple couverture, Myke a tout perdu. Un quotidien très difficile.
La Fédération des Acteurs de la Solidarité Océan Indien (FAS OI)* et la Fondation Abbé Pierre saluent le retrait de l’arrêté municipal anti mendicité pris par la Mairie de Saint Pierre annoncé officiellement par communiqué le 23 août 2022.
C’est une histoire déchirante que nous avons partagée aux internautes il y a quelques jours. Jean-Pierre* âgé de 47 ans, s’est immolé par le feu suite au décès tragique de sa femme. Aujourd’hui, il vit sous un pont à Saint-Pierre avec des amis à lui. Depuis, la solidarité des Réunionnais a fait parler d’elle.
Jean-Pierre* âgé de 47 ans vit sous un pont à Saint-Pierre. Il s’est immolé par le feu il y a quelques années après le décès tragique de sa femme dans un accident de voiture. Porteur de handicaps, il se retrouve à la rue dans le froid.
Vévin est mendiant à Saint-Pierre. Il a déposé un recours au tibunal administratif de Saint-Denis pour mettre fin à l’arrêté anti-mendicité de Saint-Pierre. Il explique, ce vendredi, sa décision d’aller devant le tribunal et à quel point sa situation est compliquée dans la rue.
Jean-Yves âgé de 58 ans vit à Salazie dans une petite case en tôle qu’il a lui même construite il y a quelques années. Sans eau chaude et électricité, il vit dans une situation précaire et très difficile. Il a vécu dans la rue durant plus de 15 ans.
Depuis le vendredi 15 juillet, il est interdit de mendier dans les rues de Saint-Pierre jusqu’au 31 août prochain. Dans cet arrêté, les mendiants devront payer une amende s’ils ne le respectent pas.
Le vendredi 10 juin dernier, La Réunion a pu découvrir l’histoire de Damien, lycéen à Saint-Denis âgé de 18 ans et sans domicile fixe, lors du 12H30 d’Antenne Réunion ainsi que sur le site web Linfo.re. Suite à ce reportage, les élans de solidarité se multiplient de la part des Réunionnais qui souhaitent lui venir en aide a eu lieu. De nombreux messages de soutien nous ont été envoyés proposant au jeune homme des solutions d’hébergement. Encore une fois, la solidarité réunionnaise est toujours au rendez-vous.
Un homme, sans domicile fixe, avait reçu un chèque de 100 000 euros d’héritage, grâce à des recherches faites par le généalogiste Jean-René Ladurée.
Le samedi 20 novembre était un jour de chance pour ce jeune SDF vivant à Montpellier. L’heureux gagnant va pouvoir s’offrir un logement.
Grâce à cette réforme urgente de l’hébergement des sans-abri, le gouvernement veut définitivement mettre un terme à la gestion "au coup par coup".
Le non-respect des nouvelles règles de confinement pourrait entrainer le paiement d’une amende allant jusqu’à 135 euros.
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