Selon l’étude de Santé publique France, la quasi-totalité des cas de fièvre typhoïde à Mayotte sont acquis localement.
« Cette recrudescence s’inscrit dans un contexte national et européen en 2024 de recrudescence à un niveau d’intensité élevée de la coqueluche », a expliqué Santé publique France, dans son Bulletin de surveillance de la coqueluche (édition Mayotte), en date du 19 septembre 2024.
L’INSEE a répertorié une baisse des naissances à Mayotte au premier semestre 2024. Malgré cette diminution, le département français reste la plus grande maternité d’Europe.
Depuis le mois de mars dernier, l’Agence Régionale de Santé a recensé cinq décès causés par le choléra. Trois décès de plus ont été enregistrés depuis le dernier bilan du 22 juillet.
Lundi 10 juin, une cinquantaine de médecins du Centre Hospitalier de Mamoudzou (CHM), à Mayotte, ont entamé une grève de contestation contre le manque d’effectifs.
Avec seulement 9 dentistes libéraux pour 321 000 habitants, le territoire est confronté à une pénurie criante de praticiens.
L’Agence régionale de santé de Mayotte a informé les Mahorais sur l’existence de plusieurs bouteilles d’eau inaptes à la consommation. L’ARS a effectué des tests sur les eaux embouteillées.
Les secours ont pris en charge trois patients à bord : un diabétique et deux cas suspects de choléra.
Lors d’une entrevue accordée au Parisien, l’ancienne directrice de l’Agence régionale de santé de Mayotte met en avant les facteurs clés à l’origine de cette crise sanitaire et appelle à des mesures urgentes pour y remédier.
Selon le dernier rapport de l’Agence Régionale de Santé (ARS), publié le lundi 6 mai, le département a enregistré un total de 58 cas confirmés depuis le 19 mars, avec six cas actifs actuellement.
Alors que la maladie se propage rapidement, le parlementaire tire la sonnette d’alarme et demande des actions concrètes pour protéger la population.
L’épidémie de choléra à Mayotte se poursuit avec maintenant 10 cas confirmés depuis son apparition.
A Mayotte, un premier cas de choléra a été diagnostiqué lundi d’après nos confrères de Kwezi Tv.
Depuis deux semaines, Mayotte est confrontée à une épidémie de conjonctivite. Les autorités sanitaires, notamment Santé publique France-Mayotte et l’ARS, se mobilisent pour mettre en place des mesures préventives.
Le manque de personnel médical expérimenté, notamment de gynécologues-obstétriciens et de sages-femmes, génère des tensions au sein du Centre Hospitalier de Mayotte (CHM).
Depuis plusieurs mois, la population de l’île de Mayotte endure les conséquences d’une crise de l’eau, qui ne laisse personne indemne, y compris les établissements scolaires.
Le ministre de la Santé, François Braun, est en déplacement à Mayotte pour une visite de deux jours. Il a annoncé que "le second hôpital se fera à Combani".
La tuberculose (TB) se transmet par voie aérienne aussi bien aux enfants qu’aux adultes. Bien que cette maladie infectieuse semble poursuivre sa décroissance en France, Mayotte enregistre toujours plusieurs cas.
Entre le 6 et 12 juillet, la propagation du coronavirus s’est accélérée à Mayotte, pour atteindre un taux d’incidence de 93,7 cas pour 100 000 habitants.
D’après Santé Publique France, la chute du nombre de cas de leptospirose à Mayotte en 2020 est liée à un "sous-diagnostic" pendant les épidémies de Covid et de dengue.
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