Une étudiante iranienne a été arrêtée à l’université Azad de Téhéran après avoir retiré ses vêtements sur le campus en signe de protestation contre le strict code vestimentaire imposé par les autorités. Par cet acte audacieux, elle voulait dénoncer le harcèlement des femmes par les agents de sécurité et attirer l’attention sur les droits des femmes en Iran.
Après une pétition reçue par la Fédération française de basket-ball, réclamant la fin de l’interdiction du port du hijab en compétition, la région Île-de-France a décidé de suspendre ses aides aux clubs signataires.
Malgré la recommandation du rapporteur public en faveur du collectif des Hijabeuses, qui estime que le port du hijab n’est pas plus provocant qu’un signe de croix après un but, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin reste fermement opposé.
Au mois d’avril, la police iranienne a mis en place un nouveau plan pour durcir le contrôle du port du voile par les femmes sur le territoire. Le hijab est obligatoire dans le pays depuis la Révolution islamique de 1979, mais de plus en plus de femmes ne le respectent pas.
Cette mesure a été annoncée samedi par les autorités iraniennes. Les femmes qui défient les règles vestimentaires imposées par le pouvoir recevront un avertissement sur les conséquences.
Le Parlement et l’Autorité judiciaire en Iran ont affirmé qu’ils travaillaient sur la question du port obligatoire du voile pour les femmes. Ils ont promis des résultats rapides, sans préciser ce qui pourrait être modifié dans la loi.
Un sondage de l’institut CSA pour CNews indique que pour 61% des Français, le port du voile islamique devrait être interdit dans l’espace public.
Sur le plateau de France 2 ce mardi 8 novembre, le candidat à la présidence des Républicains, Aurélien Pradié, a réitéré son soutien de rétablir l’uniforme dans les établissements scolaires.
Le ministre de l’Éducation nationale, Pap N’diaye, a confirmé que le port de vêtements religieux est en forte augmentation dans certains établissements scolaires.
Fatima Payman, âgée de 27 ans, devient la plus jeune sénatrice d’Australie. Elle s’est exprimée sur le port du hijab durant son premier discours.
Selon ces jeunes Françaises, le voile les aide à se "rapprocher de Dieu".
Le port de voile est un sujet qui a fait couler beaucoup d’encre lors du débat de l’entre-deux-tours de la présidentielle. Un grand nombre de Français estiment qu’il devrait être interdit dans l’espace public.
Dans deux communiqués datés du mercredi 13 avril et du vendredi 15 avril, les fédérations musulmanes ont appelé à voter pour Emmanuel Macron au second tour de l’élection présidentielle.
Sur la question de port du voile, Marine Le Pen affirme ne pas être "bornée".
Selon la candidate du Rassemblement national, Marine Le Pen, le voile est un uniforme islamiste qui cherche à faire pression. Elle souhaite ainsi pénaliser le port du voile dans l’espace public.
Candidate à l’élection présidentielle, Marine Le Pen a affirmé qu’elle va interdire le port du voile dans l’espace public si elle est élue. C’est une mesure que les Français auraient demandée.
Des manifestations ont eu lieu dans l’Etat du Karnataka, dans le sud de l’Inde sur la question du port du hijab en classe.
Ce jeudi 10 février, la ministre déléguée à l’Égalité femmes-hommes, Elisabeth Moreno, a affirmé que les femmes "ont le droit de porter le voile islamique pour jouer" au football.
Des sénateurs républicains ont proposé un amendement pour l’interdiction du port du voile dans les compétitions sportives. Une proposition qui n’a pas manqué de créer des tentions au sein du Parlement.
Financée par l’Union européenne, une campagne sur le hijab a été lancée par le Conseil de l’Europe. Mais l’initiative ne fait pas l’unanimité.
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