La Martinique est une région d’outre-mer et département d’outre-mer située dans les Caraïbes et département français d’Amérique (DFA). Elle fait partie des Antilles françaises.
Lundi 25 novembre, plusieurs fonctionnaires de police se sont rassemblés devant le commissariat de Fort-de-France, en Martinique. Ils dénoncent des conditions de travail dégradées et réclament un soutien accru face à la violence croissante.
Jeudi 21 novembre, trois membres de l’association à l’origine de la mobilisation contre la vie chère en Martinique ont été interpellées et placées en garde à vue. Le collectif dénonce "l’instrumentalisation de la justice".
Arrêté mardi en fin de journée à Fort-de-France, le président du Rassemblement pour la Protection des Peuples et des Ressources Afro-Caribéens a été placé en garde à vue. Ses avocats ont annoncé sa libération jeudi soir.
François-Noël Buffet, ministre des Outre-mer, a révélé un plan d’action pour soutenir l’agriculture locale et réduire la dépendance de l’île aux importations. Ce projet doit être finalisé d’ici juin 2025.
Rodrigue Petitot, figure du mouvement contre la vie chère en Martinique, a été interpellé à la suite d’une plainte pour violation de domicile et actes d’intimidation. Des émeutes et des pillages ont par la suite éclaté sur l’île.
Interpellé à mardi soir à Fort-de-France, Rodrigue Petitot, à la tête du Rassemblement pour la protection des peuples et des ressources afro-caribéens (RPPRAC), a été placé en garde à vue au commissariat central du chef-lieu de la Martinique.
François-Noël Buffet, ministre des Outre-mer, a rejoint Fort-de-France en Martinique lundi en fin de journée. Depuis plus de deux mois, cette ville est le cœur des mobilisations qui dénoncent le coût de la vie dans les territoires d’Outre-mer.
Dimanche soir, une famille a été visée par une attaque armée à Fort-de-France. Deux personnes ont été tuées. Les circonstances exactes de ce drame ne sont pas encore connues, mais les enquêteurs sont mobilisés pour retrouver les auteurs de ce crime.
Une fusillade dans un appartement de Fort-de-France, survenue dans la nuit du dimanche 3 novembre, a fait un mort, un adolescent. Quatre autres personnes ont été blessées, dont un bébé de neuf mois.
Face à la persistance des violences nocturnes en Martinique, les autorités ont décidé de prolonger le couvre-feu dans cinq communes jusqu’au 4 novembre. Cette mesure s’accompagne de restrictions sur la vente d’essence et des engins pyrotechniques.
Dans son dernier rapport sur les infections respiratoires aiguës, publié le 24 octobre 2024, Santé publique France note une hausse de la plupart des indicateurs en Martinique. Cette progression justifie le passage du territoire en phase épidémique.
Thierry Henry a manifesté sa solidarité envers les habitants de la Guadeloupe et de la Martinique, confrontés à la vie chère. L’ancien joueur des Bleus appelle à une baisse des prix…
Ce dispositif, qui inclut la suppression de la TVA pour certains articles, sera voté dans la prochaine loi de finances.
Les tensions restent extrêmement vives en Martinique. Selon la préfecture, de nouveaux épisodes de violence ont éclaté dans la nuit du mardi 22 au mercredi 23 octobre, alors que l’île est sous couvre-feu nocturne.
En dépit de la prolongation du couvre-feu nocturne, des tensions ont de nouveau éclaté en Martinique. Les forces de sécurité sont intervenues dans la nuit du lundi 21 au mardi 22 octobre pour libérer une route bloquée par des barricades, a rapporté la préfecture.
Cette prolongation du couvre-feu en Martinique est suivie d’une restriction de vente et transports d’essence et d’usage d’engins pyrotechniques.
Le RPPRAC n’a pas signé l’accord pour la baisse des prix de 6 000 produits en Martinique. L’organisation a appelé à de nouveaux blocages sur l’île dès ce lundi 21 octobre.
Les mouvements sociaux en Martinique sont motivés par la précarité économique. Le coût des yaourts, bien supérieur à celui observé en métropole, illustre l’ampleur de la crise de la vie chère en France ultramarine.
En réponse à la mobilisation contre la vie chère qui secoue la Martinique depuis plus d’un mois, un accord a été signé pour réduire les prix de certains produits alimentaires de 20 % en moyenne. Cette initiative n’a cependant pas apaisé les tensions. Le collectif Rassemblement pour la protection des peuples et des ressources afro-caribéens (RPPRAC) a refusé de signer, et appelle à maintenir la pression.
Un retour progressif à la normale est constaté en Martinique. Toutefois, la préfecture a annoncé prolonger le couvre-feu pour une semaine.
Tout le fil infos
Les dépenses moyennes des Français en santé ont atteint 3660 euros, avec une progression de plus de 5%
Saint-Denis : un homme s’introduit dans une gendarmerie et vole le vélo électrique d’un gendarme
Football : le FC Rivière des Galets promu en Régionale 1 !
COP29 : pour la France, l’accord manque d’ambition face à l’urgence climatique
Johan, pompiste réunionnais de 26 ans, décédé tragiquement en métropole : une messe commémorative organisée ce dimanche
Un papangue victime d’un tir d’un braconnier : son état jugé grave
Distribution de colis alimentaire à Mafate avec UNIR OI et le Centre d’action sociale de Saint-Paul
L’Anse des cascades : les plantes invasives retirées
Saint-Paul constitue sa Réserve Communale de Sécurité Civile
200 missiles lancés par l’Iran sur Israël : témoignage d’une Réunionnaise sur place
Bientôt 100 000 fans !
Rejoignez notre page Facebook