Jeudi 14 novembre, l’armée israélienne a annoncé avoir frappé environ 30 cibles terroristes" dans diverses zones au Liban. Au moins 14 personnes ont été tuées.
Depuis octobre 2023, le ministère libanais de la Santé a recensé plus de 3 180 personnes tuées au Liban, en majorité des civils, après des frappes israéliennes.
Selon le ministère libanais de la Santé, les opérations de déblayage et de secours se poursuivent dans cette localité côtière située à une vingtaine de kilomètres de Beyrouth, la capitale du Liban.
Trois secouristes dans un centre de l’Association al-Rissala, affiliée au parti chiite Amal, grand allié du Hezbollah, ainsi qu’une infirmière, figurent parmi les victimes de ces frappes israéliennes dans le sud du Liban.
La conférence internationale sur le Liban a débuté jeudi 24 octobre à Paris, rassemblant 70 pays et organisations pour répondre à la crise sécuritaire et humanitaire causée par le conflit Israël-Hezbollah. Emmanuel Macron en a profité pour réagir aux propos de Benyamin Netanyahou, interviewé la veille sur Europe 1-CNews.
Sur le plateau de RTL ce mercredi, le ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot a parlé des enjeux de la Conférence internationale de soutien à la population et à la souveraineté du Liban, qui a lieu jeudi à Paris.
Le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, s’est exprimé sur la guerre entre le Hezbollah et Israël au Liban. "Notre position, en ce moment, passe surtout par une crainte (...) d’une guerre civile imminente", a-t-il indiqué.
L’armée israélienne a annoncé ce lundi avoir frappé environ 300 cibles du Hezbollah en 24 heures. L’offensive vise non seulement les positions militaires du groupe islamiste pro-iranien, mais s’étend également à ses infrastructures financières.
Dimanche 20 octobre, l’armée israélienne a mené des actions militaires de grande envergure dans le sud du Liban, ciblant des positions supposées du Hezbollah. Plusieurs localités ont été bombardées dans cette région frontalière d’Israël.
Le jeudi 17 octobre, depuis Bruxelles, en marge du Conseil européen, le président Emmanuel Macron a renouvelé son appel à Israël. Il a demandé de stopper les opérations militaires au Liban.
Un premier cas de choléra est confirmé dans le nord du Liban alors que la guerre entre le Hezbollah et Israël ne cesse de s’intensifier. L’OMS a tiré la sonnette d’alarme sur le risque très élevé de propagation de la maladie.
Mercredi 16 octobre, un avion gouvernemental français a rapatrié 131 Européens du Liban, dont une majorité de Français. Ces retours ont été organisés en raison de l’escalade du conflit entre Israël et le Hezbollah.
L’armée israélienne a informé le public de la situation sur le réseau social X.
Dans un message vidéo percutant, le Premier ministre israélien a averti le Liban des conséquences désastreuses de son soutien au Hezbollah. Il menace de mener des opérations destructrices similaires à celles subies par Gaza si cette situation perdure. B. Netanyahou a appelé les Libanais à se libérer de l’influence de ce mouvement islamiste chiite.
Selon une annonce du ministère des Affaires étrangères, près de 50 Français considérés comme vulnérables ont été rapatriés en France, mardi 8 octobre.
La situation au Proche-Orient se dégrade avec de nouvelles frappes israéliennes meurtrières dans la bande de Gaza. De son côté, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a également menacé le Liban de subir un sort similaire à Gaza s’il ne se libère pas de l’influence du Hezbollah.
Des milliers d’hectares de terres brûlées, des hôpitaux fermés…, la situation au Liban devient de plus en plus compliquée avec la poursuite des bombardements par l’armée israélienne.
Les tensions entre Israël et le Hezbollah ne cessent de s’intensifier au sud du Liban. La Turquie a décidé de prendre des mesures pour protéger ses ressortissants présents dans la région.
Dimanche 6 octobre, l’armée israélienne a bombardé la banlieue sud de Beyrouth. Le fief du Hezbollah a été visé par quatre raids.
Des chiffres officiels ont révélé que plus d’un millier de personnes sont décédées au Liban depuis le 23 septembre en raison des violences transfrontalières entre le Hezbollah et l’armée israélienne.
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