Jeudi avait lieu le dernier jour du procès du djihadiste réunionnais Jérôme Lebeau. Le verdict est tombé dans la soirée, il écope de 28 ans de prison.
Après 4 jour de jugement, fin du procès de Jérôme Lebeau, jeune Bénédictin radicalisé, à Cour d’assises spéciale de Paris ce jeudi.
Actuellement pensionnaire de la prison de Fresnes, Jérôme Lebeau s’apprête à être jugé par la Cour d’assises spéciale de Paris.
Le djihadiste originaire de Saint-Benoît, Jérôme Lebeau, a été transféré devant la cour spéciale de Paris pour "tentatives de meurtres en relation avec une entreprise terroriste".
Le djihadiste bénédictin Jérôme Lebeau a été renvoyé devant la cours spéciale de Paris pour "tentatives de meurtres en relation avec une entreprise terroriste".
Auteur d’une fusillade face aux hommes du GIPN, Jérôme Lebeau est de retour à Saint-Benoît. Les faits datent du mois d’avril 2017 et à l’époque, le jeune homme avait rapidement été transféré à Paris. Mis en examen par un juge antiterroriste parisien et incarcéré à Fresnes, Jérôme Lebeau est de retour à La Réunion depuis octobre 2018, incarcéré à Domenjod. Il doit aujourd’hui participer à une reconstitution. Un important dispositif de sécurité est déployé sur zone.
Jérôme Lebeau et sa mère sont passés devant le juge anti-terroriste à Paris hier soir. Les deux Bénédictins ont été mis en examen pour association de malfaiteurs terroristes criminelle en vue de commettre des atteintes à la personne et placés en détention provisoire. Le jeune homme a aussi été mis en examen pour homicide volontaire sur personne dépositaire de l’autorité publique.
Jérôme Lebeau a quitté la prison de Domenjod mercredi 3 mai en fin de journée. Soupçonné de radicalisation, il a été escorté par les forces de l’ordre lors de ce transfert vers Paris, tout comme sa mère. Ils doivent tous deux être mis en examen par le parquet national anti-terroriste. Leur avion a atterri ce jeudi matin à Paris.
Soupçonné de radicalisation - Jérôme Lebeau - a quitté la prison de Domenjod mercredi 3 mai - sous escorte - afin d’être transféré à Paris, tout comme sa mère. Ils ont tous deux été escortés à Paris pour être mis en examen par le parquet national anti-terroriste. Leur avion a décollé mercredi soir direction la métropole.
Jérôme Lebeau et sa mère doivent être prochainement transférés à Paris pour être mis en examen par le parquet national antiterroriste. Le jeune de 22 ans est soupçonné de radicalisation et d’avoir eu l’intention de préparer une attaque. Sa mère aurait pu jouer un rôle de complice.
Jérôme Lebeau, soupçonné de radicalisation, et sa mère ont été présentés devant le tribunal de Champ Fleuri à Saint-Denis lundi. Ils doivent être escortés de La Réunion à Paris pour être mis en examen par le parquet national antiterroriste.
Le parquet antiterroriste de Paris a ouvert une information judiciaire dans le cadre de l’enquête sur Jérôme Lebeau, islamiste présumé, qui a été arrêté jeudi à Saint-Benoît.
Jérôme Lebeau, islamiste présumé, est toujours en garde à vue. Dans le quartier où il vit avec ses proches, les habitants sous encore sous le choc. Ils affirment avoir vu les policiers repasser à la Cité Fragrance.
Ce vendredi 28 avril, la ministre de l’Outre-mer Éricka Bareigts, le préfet de La Réunion Domique Sorain et Jean-François Lebon - commissaire divisionnaire, directeur départemental de la sécurité publique de la Réunion - se sont réunis au commisariat du Chaudron pour rencontrer les policiers du GIPN.
La radicalisation peut s’opérer très tôt chez les jeunes. Pour éviter cette "fermeture des esprits", la communication est un levier primordial.
Suite à la fusillade impliquant un jeune homme "suspecté de radicalisation" hier, le parquet de Paris s’est saisi de l’affaire. Une dizaine d’enquêteurs du parquet Anti-terroriste sont arrivés ce matin de Paris. Ces derniers resteront sur l’île quelques jours, pour rassembler le plus de preuves possible.
A la Cité Fragrance de Saint-Benoît, c’est l’incompréhension dans l’entourage de Jérôme Lebeau, le jeune islamiste présumé interpellé jeudi. Ce matin, Lucien, l’un de ses amis d’enfance, a évoqué le changement de comportement de ce jeune décrit comme discret et sans histoire.
Hier, jeudi 27 avril, aux alentours de 6 heures, deux hommes du GIPN ont été blessés par arme à feu par un homme de 22 ans, lors d’une interpellation dans la cité Fragrance à Saint-Benoît. Les hommes de la section anti-terroriste de Paris arrivent aujourd’hui.
Président de la mosquée de Saint-Benoît, Sulliman Randera réagit dans le 19h d’Antenne Réunion après l’interpellation ce jeudi d’un homme suspecté de radicalisation habitant la commune.
Le président du Conseil régional du culte musulman de La Réunion, Houssen Amode, dénonce la suspicion de radicalisation d’un homme, interpellé ce jeudi à Saint-Benoît après avoir blessé deux policiers.
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