"Le droit fondamental à la liberté individuelle dont dispose une femme […] lui donne l’autorité d’interrompre sa grossesse si elle le souhaite", a écrit Melania Trump dans son livre à paraître mardi.
Des manifestations ont eu lieu ce samedi dans plusieurs villes françaises, dont Paris, pour soutenir le droit à l’avortement.
La Drees (Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques) a publié les données concernant les interruptions volontaires de grossesse, mercredi 25 septembre.
Une étude publiée récemment révèle que depuis l’adoption d’une loi en 2021 réduisant fortement l’accès à l’avortement, le Texas a connu une hausse de la mortalité infantile.
En Louisiane, une nouvelle loi fait de la possession de pilules abortives sans ordonnance un crime. Les élus de cet état conservateur du sud des Etats-Unis ont voté en faveur de cette législation.
La gouverneure démocrate de l’Arizona, Katie Hobbs, a salué l’abrogation de cette loi comme un moyen de préserver le droit des femmes à décider de leur propre corps.
"Les modalités de prise en charge ainsi que la procédure en cas de complications seront désormais identiques quel que soit le professionnel réalisant l’acte d’IVG instrumentale", est-il indiqué dans un communiqué du ministère délégué à la Santé Frédéric Valletoux.
La cérémonie officielle pour marquer l’entrée de l’IVG dans la Constitution se déroule ce vendredi 8 mars sur la place Vendôme à Paris en présence d’Emmanuel Macron.
Le chef de l’État a loué l’adoption par le Congrès de l’inscription de l’IVG dans la Constitution, annonçant que la cérémonie de "scellement", prévue le vendredi 8 mars, serait ouverte au public pour la première fois.
Le lundi 4 mars, à Versailles, lors d’une séance tenue dans l’après-midi, une nette majorité des membres du Parlement a exprimé un fort soutien à l’intégration du droit à l’interruption volontaire de grossesse dans la Constitution, une initiative portée par le gouvernement.
Dans une déclaration sur RTL, le garde des Sceaux, Éric Dupond-Moretti, a qualifié l’inscription de l’IVG dans la Constitution française de "grande avancée pour le droit des femmes."
Après avoir obtenu un large soutien à l’Assemblée nationale, le Sénat a également voté en faveur du processus d’inscription de l’Interruption Volontaire de Grossesse (IVG) le 28 février.
La Chambre haute a approuvé mercredi le projet de loi visant à inscrire l’IVG dans la Constitution. Dans la foulée, le président Emmanuel Macron a annoncé la convocation du Congrès à Versailles, lundi 4 mars, pour l’adoption définitive du texte.
Le Vatican a émis une opposition formelle à l’inscription dans la Constitution française de la "liberté garantie" pour les femmes d’avoir recours à l’interruption volontaire de grossesse (IVG).
Mardi 30 janvier, l’Assemblée nationale a largement voté en faveur de l’intégration dans la Constitution de la "liberté garantie" pour les femmes ayant besoin de recourir à l’IVG. Cette décision place maintenant la responsabilité entre les mains du Sénat, où la formulation adoptée semble susciter moins d’accord.
Dans la nuit de mercredi à jeudi, les députés ont adopté à une large majorité le principe d’inscrire dans la Constitution la "liberté garantie à la femme d’avoir recours à une IVG".
Christian Krieger, président de la Fédération protestante de France (FPF), a estimé le 22 janvier que l’inscription de l’interruption volontaire de grossesse (IVG) dans la Constitution serait inopportune, même si les protestants ne manifestent "aucune réserve" à l’égard de ce droit.
Au cœur de la controverse entourant la scolarisation des enfants d’Amélie Oudéa-Castéra à l’école privée catholique Stanislas à Paris, Mediapart a révélé un rapport de l’Inspection générale de l’Éducation nationale daté de juillet 2023, signalant des "dérives" dans l’établissement.
Ce projet de loi prévoit d’inscrire l’IVG (Interruption volontaire de grossesse) dans la Constitution. Le texte arrive en commission à l’Assemblée nationale mardi 16 janvier.
Une évolution significative se profile dans le domaine de la santé en France. Les sages-femmes seront bientôt autorisées à pratiquer l’interruption volontaire de grossesse instrumentale en milieu hospitalier. Ce sera possible jusqu’à la 16e semaine d’aménorrhée, soit 14 semaines de grossesse.
Tout le fil infos
Les pylônes de télécommunications à l’entrée du Port repeints en blanc !
Chine : une voiture percute une école, plusieurs enfants blessés
Saint-Paul : un plaisancier secouru par le CROSS ce week-end, son bateau retrouvé échoué sur le front de mer ce matin
Une nouvelle plainte déposée contre Slimane pour agression sexuelle
Budget 2025 : le RN sur le point d’appuyer sur le bouton de la censure ?
Un papangue victime d’un tir d’un braconnier : son état jugé grave
Distribution de colis alimentaire à Mafate avec UNIR OI et le Centre d’action sociale de Saint-Paul
L’Anse des cascades : les plantes invasives retirées
Saint-Paul constitue sa Réserve Communale de Sécurité Civile
200 missiles lancés par l’Iran sur Israël : témoignage d’une Réunionnaise sur place
Bientôt 100 000 fans !
Rejoignez notre page Facebook