La spirale de violence des gangs s’intensifie en Haïti. Kenscoff, un quartier auparavant épargné, est le théâtre d’attaques meurtrières. Le bilan provisoire des autorités fait état de 40 morts.
L’Unicef tire la sonnette d’alarme sur la montée en flèche du recrutement d’enfants par des gangs en Haïti, qui a bondi de 70 % entre 2023 et 2024. Désormais, presque la moitié des membres de ces bandes armées sont des jeunes.
Le chef de la diplomatie haïtienne a vivement critiqué les propos du président de la République Emmanuel Macron qui a accusé les responsables haïtiens d’être "complètement cons".
En Haïti, où l’instabilité est chronique, même les forces de l’ordre deviennent une menace. Face à cette situation, l’ONG Médecins Sans Frontières (MSF) a décidé de suspendre ses activités à Port-au-Prince à partir de ce mercredi, "jusqu’à nouvel ordre".
Ces terribles faits se sont produits lundi 11 novembre en Haïti. Médecins sans frontières (MSF) condamne avec la plus grande fermeté l’exécution de plusieurs patients après l’attaque d’une ambulance.
Un avion de ligne appartenant à la compagnie américaine Spirit Airlines, à destination de Port-au-Prince, a été touché lundi par des tirs d’arme à feu. Aucun passager n’a été blessé, mais un membre d’équipage a été légèrement touché.
Selon le chiffre communiqué fin septembre par le Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’Homme, au moins 3 661 personnes ont été tuées depuis janvier en Haïti où les violences font rage.
Ces accusations, largement diffusées par des figures politiques proches de Donald Trump, ont été vigoureusement rejetées par les autorités haïtiennes.
L’Unicef a averti lundi 1er juillet sur la hausse du nombre d’enfants déplacés à cause des violences des gangs en Haïti. Un accroissement de 60% est constaté depuis mars, soit l’équivalent d’un "enfant par minute".
De nombreux Haïtiens considèrent que cette somme est responsable des maux qui touchent Haïti depuis deux siècles. "Il est temps que la France reconnaisse cela et que nous avancions", a déclaré à Reuters Monique Clesca, une militante de la société civile haïtienne qui coordonne les efforts.
Au moins 170 ressortissants français et 70 Européens ont été évacués de l’aéroport de Port-au-Prince en Haïti vers la Martinique à bord d’un hélicoptère militaire.
Un regain de violence est constaté en Haïti depuis début mars. La France a décidé de rapatrier ses ressortissants vulnérables en affrétant des vols spéciaux.
Le Département d’État américain a révélé que plus de 30 citoyens des États-Unis ont été transportés hors d’Haïti, un pays confronté à un climat de violence alimenté par des gangs. Ils ont été rapatriés vers la Floride à bord d’un vol charter organisé par le gouvernement, avec l’atterrissage ayant eu lieu dimanche 17 mars.
Ces derniers temps, Haïti et sa capitale, Port-au-Prince, sont confrontées à une recrudescence des violences des gangs. La directrice de l’Unicef a exprimé une profonde préoccupation. Elle a évoqué des scénarios dystopiques, allant jusqu’à comparer la situation à l’univers chaotique de "Mad Max".
Le week-end dernier, des membres du personnel de l’ambassade des États-Unis à Haïti ont été évacués. Parallèlement, l’ambassadeur allemand a également quitté Port-au-Prince. Depuis quelques jours, la ville est confrontée à des violences perpétrées par des gangs.
Haïti se retrouve en état d’urgence pour une durée de 72 heures, la décision a été prise par les hautes autorités du pays après que des milliers de détenus se sont échappés de la prison de Port-au-Prince.
Dans la nuit de samedi à dimanche, une dizaine de personnes sont décédées durant l’évasion d’un grand nombre de détenus du Pénitencier national de Port-au-Prince, en Haïti. Le gouvernement a décidé de déclarer l’état d’urgence et d’instaurer un couvre-feu en réponse à cette situation.
Des recherches réalisées par des experts de l’Université du Michigan ont révélé que le riz américain, exporté en Haïti était exposé aux métaux lourds. Pourtant, cette céréale figure parmi la nourriture quotidienne des Haïtiens.
Selon les informations fournies jeudi par l’archevêché de la capitale haïtienne, huit personnes, dont six religieuses, qui avaient été enlevées vendredi dernier à Port-au-Prince, ont été libérées.
Dimanche 21 janvier, le pape François a plaidé pour la libération d’un groupe de huit individus, comprenant six religieuses, qui ont été enlevés vendredi dernier à Haïti. Ce pays des Caraïbes est confronté à une recrudescence de la violence des gangs.
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