En réaction aux commentaires du président russe concernant un éventuel risque de guerre nucléaire en cas d’escalade du conflit en Ukraine, un représentant du département d’État américain a critiqué une "rhétorique irresponsable".
Une réunion est organisée ce lundi 26 février par le président français Emmanuel Macron, regroupant une vingtaine de dirigeants d’États et de gouvernements, principalement européens. L’objectif de cette rencontre est de réitérer leur soutien à l’Ukraine.
Lors d’un échange téléphonique ce vendredi 23 février, le président français Emmanuel Macron et son homologue américain Joe Biden ont appelé à "faire échec à la guerre d’agression de la Russie".
Après la revendication de Moscou d’avoir pris le contrôle total d’Avdiïvka, forçant ainsi le retrait des forces ukrainiennes, Kiev a affirmé que l’armée russe poursuit son offensive au-delà de cette ville industrielle.
La France a découvert un réseau de propagande russe organisé et coordonné, visant plusieurs pays européens et les États-Unis, dans le but de justifier la guerre contre l’Ukraine. Il a été baptisé ’Portal Kombat’.
Dimanche 11 février, l’Ukraine a fait part de ses accusations à l’encontre de SpaceX, affirmant que la société permettait aux forces russes d’utiliser Starlink, son service de connexion Internet par satellite, dans les régions ukrainiennes sous occupation.
Les trois enfants décédés lors de ces frappes de drones russes sur une station-service à Kharkiv, localité de l’est de l’Ukraine sont âgés de 7 ans et 4 ans. Un bébé d’environ six mois est également mort.
Dans une entrevue avec le journaliste conservateur américain Tucker Carlson, le président russe déclare qu’il est "impossible" pour son pays de subir une défaite.
Ce lundi 5 février, le ministère des Affaires étrangères convoque l’ambassadeur russe en France pour condamner les récentes attaques menées par la Russie en Ukraine, ainsi que la diffusion délibérée de désinformation visant la France.
L’actualité concernant la guerre en Ukraine ce jeudi s’est aussi concentrée sur l’appel de l’opposant russe Alexeï Navalny à une grande manifestation contre Vladimir Poutine.
Le vendredi 26 janvier, le ministère français des Affaires étrangères condamne une campagne de déstabilisation des Russes, pointant notamment du doigt des réseaux d’information pro-russes et des médias d’État tels que Sputnik News, RT et RIA Novosti…
Un accident mortel impliquant un avion militaire russe Il-76 est survenu mercredi dans la région de Belgorod, à la frontière de l’Ukraine.
Un document confidentiel de l’armée allemande, dévoilé par le quotidien Bild, expose un scénario envisageant une Troisième Guerre mondiale à mi-2025. Kiev serait rapidement submergée en raison du manque de soutien logistique de l’OTAN. La Russie exercerait ensuite une pression sur les pays baltes depuis son enclave de Kaliningrad, héritage du démantèlement de l’URSS.
Vendredi 19 janvier, en matinée, un dépôt pétrolier situé dans la région de Briansk, à la frontière de l’Ukraine, a été en proie aux flammes après une attaque de drone ukrainien, selon les autorités russes. Aucune victime n’a été signalée.
"Certains pays, pour des raisons politiques, ont fait beaucoup d’annonces. La fierté de la France, c’est que tout ce qui est promis est réellement livré, et tout ce qui est livré fonctionne", a déclaré le ministre des Armées Sébastien Lecornu en faisant l’annonce sur ce jeudi matin.
D’après les autorités russes, la frappe menée mercredi à Kharkiv, la deuxième ville d’Ukraine a fait plus de 60 morts et 20 blessés.
Pendant la conférence de presse à l’Élysée le mardi 16 janvier, Emmanuel Macron a déclaré qu’il prévoyait de se rendre en Ukraine "en février".
Kiev a affirmé samedi que la Russie a procédé à une salve de missiles et de drones sur son territoire au cours de la nuit du 12 au 13 janvier. De son côté, Moscou confirme avoir ciblé des usines d’armement en Ukraine, assurant avoir atteint avec succès les cibles.
Ces derniers jours, les frappes ukrainiennes se sont intensifiées dans la grande ville russe de Belgorod. Les autorités locales ont décidé d’évacuer 392 écoliers.
Le Premier ministre ukrainien, Denys Chmyhal a dénoncé l’utilisation de missiles de croisière et des missiles [hypersoniques] Kinjal et a déploré des victimes après ces nouvelles frappes nocturnes russes.
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