Une société spécialisée dans les vaccins, Vaneva SE va fournir 40 000 doses de vaccins à La Réunion pour lutter contre le chikungunya. La Réunion est en plan Orsec de niveau 4. Cela constitue ainsi une aide supplémentaire pour notre île.
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Un nouveau cas importé de chikungunya a été confirmé le vendredi 21 mars dans le sud de Mayotte, indique l’Agence Régionale de Santé (ARS).
L’Agence Régionale de Santé de Mayotte annonce qu’un deuxième cas de chikungunya importé a été détecté ce vendredi 21 mars dans le Sud de l’île, dans la commune de Chirongui.
2 888 cas de chikungunya signalés dans la semaine du 3 au 9 mars. Avec ces 2 décès, l’épidémie prend une nouvelle tournure. Quels sont les profils des 2 premières victimes ? Quels moyens de lutte déployés ?
Le préfet de La Réunion et le directeur général de l’agence régional de santé déplorent deux décès survenus la semaine dernière, en lien avec le chikungunya.
L’épidémie du Chikungunya poursuit sa propagation dans l’île. Forte progression des cas : 2 888 cas signalés dans la semaine du 3 au 9 Mars dernier. La Réunion placée en niveau 4, le dernier stade avant l’épidémie de masse.
L’épidémie de chikungunya poursuit sa progression à La Réunion. Le territoire est passé au niveau 4 du plan ORSEC « épidémie de moyenne intensité ». Pour la semaine du 03 au 09 mars, 2 888 cas ont été signalés indique l’ARS.
2 600, c’est le nombre de cas de chikungunya recensés en 7 jours seulement par les autorités sanitaires. Hier, la préfecture a déclenché le niveau 4 épidémie de moyenne intensité du plan ORSEC. La population est appelée à la plus grande vigilance face risques de piqûres de moustiques, notamment au parc des Tamarins à Sainte-Clotilde où un important gîte larvaire a été repéré. La balade y est vivement déconseillée. Pourtant, les habitués du littoral étaient encore nombreux ce matin sur le site.
Avec plus de 2600 nouveaux cas en 7 jours, l’épidémie de Chikungunya s’intensifie très fortement ces dernières semaines sur l’ensemble du territoire. Le préfet de La Réunion, Patrice LATRON, a décidé de déclencher le niveau 4 du plan ORSEC.
La semaine du 24 février au 2 mars 2025, marque une augmentation significative du nombre de cas de chikungunya : 1 766 nouveaux cas ont été enregistrés.
Le Chikungunya était en forte progression avant le cyclone. Selon les derniers chiffres il y a 1 300 nouveaux cas enregistrés la semaine dernière par les autorités sanitaires. Au total ce sont 3 245 cas recensés depuis le début de l’année. Vigilance après le passage de Garance, les déchets et les eaux stagnantes sont favorables à la prolifération des moustiques, et bientôt le lancement d’une campagne de vaccination gratuite contre le virus.
Depuis le 23 août 2024, 1069 cas de chikungunya ont été recensés sur l’île dont 927 en 2025. L’épidémie se poursuit à un rythme soutenu avec 362 cas détectés en une semaine.
La circulation du virus s’intensifie sur l’île. Du 27 janvier au 2 février, 204 nouveaux cas ont été signalés. Depuis le début de l’année 2025, 671 cas autochtones ont été recensés.
Selon la préfecture, du 13 au 19 janvier 2025, 54 nouveaux cas de chikungunya ont été signalés. Une dispersion des foyers est notable avec l’apparition de cas isolés dans de nouvelles communes : Les Avirons, Petite-Île, Saint-Denis, Saint-Joseph, Sainte-Marie, Le Port et Saint-Louis.
Le chikungunya, transmis par les moustiques, persiste comme un défi de santé publique. Sa dynamique endémo-épidémique entraîne des flambées régulières, exigeant vigilance et actions sanitaires pour protéger les populations.
Le niveau 3 du plan ORSEC est déclenché à La Réunion face à l’augmentation rapide des cas de chikungunya. 192 cas recensés depuis le mois d’août dernier. Ce stade, activé par le préfet, correspond à une circulation épidémique à faible intensité. La commune de Sainte-Suzanne a présenté ce matin son plan de lutte.
La Réunion compte 192 cas de chikungunya. En raison de l’augmentation du nombre de cas et de la dispersion des foyers, le niveau 3 du dispositif Orsec "Arboviroses" est déclenché, indique la Préfecture dans un communiqué en date du 13 janvier.
138, c’est le nombre de cas de chikungunya recensés depuis le mois d’août dernier. Conséquence de cette évolution, La Réunion entrera en phase épidémique la semaine prochaine. 6 à 10 nouveaux sont recensés par semaine, si le virus en lui-même ne semble pas agressif, selon les autorités c’est la dispersion des cas qui inquiète.
Depuis la détection des premiers cas autochtones de chikungunya en août 2024, un total de 138 cas a été signalé. La dispersion continue, avec 38 % des cas détectés en semaine 52 étant isolés, ce qui indique des implantations en dehors des foyers connus et dans de nouvelles communes jusqu’alors indemnes. Le passage en situation épidémique semble très probable à court terme.
Depuis quelques mois, un vaccin contre le chikungunya est disponible et à un prix de 150 euros. Pour le député réunionnais Perceval Gaillard, le vaccin doit être remboursé par la sécurité sociale.
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