Ce mardi 29 novembre, plusieurs agents du Parc national des forêts ont démantelé un camp de braconnier de palmistes au Bras des Lianes.
C’est un mets qui se retrouvera sur les tables des Réunionnais ce soir. La langouste est victime de braconnage en cette période de fête, les gardes de la réserve marine ont effectué des contrôles.
Ce mets d’exception est particulièrement apprécié lors de fêtes de fin d’année. Malheureusement, le nombre d’individus qui constituent l’espèce baisse chaque année. Il est donc essentiel de réguler la pêche afin de laisser la population de langoustes réunionnaises se repeupler.
Des camps de braconnage de palmiste rouge ont été démantelés ce lundi 4 octobre à la Plaine-des-Palmistes. L’opération a été menée par les agents de l’ONF, la Brigade de l’océan Indien, la Fédération de Pêche et les services de gendarmerie. 35 camps ont été démantelés depuis le début de cette opération, les contrevenants s’exposent à une peine de 15 000 euros d’amende et à des peines de prison.
En juin 2020, un homme avait récupéré trois membres de sa famille en possession de 49 palmistes rouges coupés dans la région de Takamaka, à Saint-Benoît. Ce 2 septembre la cour d’appel a décidé de restituer la voiture du braconnier. Il est condamné à six mois de prison avec sursis.
Président de la Séor, Christian Léger intervenait dans le 19h d’Antenne Réunion. pour évoquer notamment les 2 papangues victimes de braconnage, qui ont dû être euthanasiés.
Des actes de braconnage ont été constatés par la Société d’Etudes Ornithologiques de la Réunion (SEOR) sur des papangues qui ont malheureusement dû être euthanasiés au vu de leur état.
Le 12 décembre dernier, en première instance, un braconnier avait été condamné à six mois de prison avec sursis. En juin 2020, il avait récupéré trois membres de sa famille qui avaient coupé 49 palmistes rouges dans la région de Takamaka, à Saint-Benoît. Ce 3 mai, il s’est retrouvé devant la cour d’appel qui rendra sa décision le 2 septembre prochain.
Non ce ne sont pas des tangues mais bien six hérissons qui ont été découverts par la gendarmerie de Corse hier soir. L’espèce est protégée, il est donc interdit de vendre ou bien d’en manger.
Classée en 2007, la Réserve Nationale Marine de La Réunion occupe une surface de 3500 hectares autour de l’île. L’ensemble des lagons est ainsi spécifiquement protégé en raison de leurs importances écologiques. Tous, sauf un : le lagon de St-Pierre. Pourtant, il n’est pas devenu le paradis des pêcheurs !
Ce mardi matin 12 janvier, un agent de la Réserve Nationale Marine de La Réunion a été blessé au cours d’une mission de surveillance sur le site dit de Ti Trou d’eau alors qu’il interpellait un individu qui pêchait au filet sans carte de pêche de loisir, ni licence de pêche professionnelle, indique la préfecture
La semaine dernière, lors d’une mission de surveillance de nuit, les gardes de la Réserve Marine avec le soutien de la Gendarmerie de La Réunion, ont interpellé 3 personnes en action de pêche sous marine illégale dans le lagon en zone de protection renforcée.
Lors d’une mission de police de la pêche le 23 juin 2020 sur le Bras de Cilaos - affluent de la Rivière Saint-Etienne, au niveau du lieu-dit "Petit Serré", les gardes-pêche assermentés de la Fédération des AAPPMA de La Réunion ont appréhendé une équipe de trois personnes en action de pêche illicite.
L’Office National des Forêts et le Parc National de La Réunion mettent en place des actions de lutte contre le braconnage du palmiste rouge.
4 hommes ont condamnés ce jeudi au tribunal correctionnel pour avoir pêché au sein de la Réserve Marine.
Afin de renforcer les moyens de lutte pour la préservation de la biodiversité, le préfet de La Réunion a décidé de créer une louveterie à La Réunion.
Deux personnes ont été interpellées jeudi en action de pêche sous-marine illégale de nuit au niveau du récif corallien de l’Hermitage.
Le coeur de palmiste, une saveur créole que l’on adore. Mais une filière clandestine de braconnage existe à La Réunion. Si rien ne change, cet arbre emblématique de l’île va disparaître. Dans une forêt humide du Sud Sauvage, nous avons suivi les traces de ces braconniers sur un "sentier marron".
L’association Protection de la Pêche et de l’Environnement sur l’Embouchure de la Rivière Du Mât les Bas (PPEE RDM) a constaté lundi un acte de braconnage dans les chenaux de la célèbre rivière de l’Est. Cet événement n’est pas une exception selon le président de l’association Joseph Damour.
La Direction de la mer Sud océan Indien rappelle qu’il est interdit de pêcher les langoustes durant leur période de reproduction dans les eaux maritimes bordant La Réunion. La période d’interdiction de pêche et de vente des langoustes s’étend du 1er décembre au 31 mars inclus.
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