Les athlètes russes et biélorusses participeront sous bannière neutre aux JO 2024 de Paris, mais ne défileront pas sur la Seine lors de la cérémonie d’ouverture. Moscou se dit "scandalisé".
Dimanche 25 février, l’actuel dirigeant de la Biélorussie a annoncé qu’il se présenterait à sa propre succession en 2025. Âgé de 69 ans, il est aux commandes du pays depuis 1994.
Jeudi 4 janvier, le président biélorusse Alexandre Loukachenko a signé une loi pour accroître son pouvoir plongeant un peu plus son pays dans la dictature.
Plusieurs centaines de soldats du groupe Wagner sont présents à l’ouest de la Biélorussie. La Pologne a ordonné le déplacement d’un millier de ses soldats.
La Fédération internationale de gymnastique a pris une décision importante en autorisant les gymnastes russes et biélorusses à participer à ses compétitions à partir du 1er janvier 2024. Ils se présenteront en tant qu’"athlètes individuels neutres".
Cette phrase du président Loukachenko sur les prochaines élections va susciter des polémiques.
L’information a été communiquée dimanche par l’opposition biélorusse en exil. Celle-ci estime que c’est l’"opération de sabotage la plus réussie" depuis le début du conflit en Ukraine.
Le lundi 13 février, le ministère des Affaires étrangères a écrit sur son site internet qu’il "déconseille formellement tout déplacement en Biélorussie", appelant les Français dans ce pays à le quitter "sans délai".
Selon le ministère de la Défense biélorusse, le jeudi 29 décembre, un missile anti-aérien ukrainien s’était écrasé sur son territoire.
Les travaux de construction de la barrière sous forme d’une clôture de quatre mètres et de fils barbelés à la frontière entre la Lituanie et le Bélarus sont achevés à 100 %.
Alliée de Moscou, la Biélorussie a servi de base arrière aux forces russes depuis l’invasion de l’Ukraine. Samedi 2 juillet, Minsk a accusé Kiev d’avoir tiré des missiles sur son territoire.
Le gouvernement polonais avait décidé de construire un mur à sa frontière avec le Bélarus afin de bloquer l’arrivée des migrants sur son territoire. Après plusieurs mois de travaux, la barrière est terminée.
Le président russe Vladimir Poutine a reçu, samedi 25 juin, son homologue biélorusse Alexandre Loukachenko en pleine tension entre leurs pays et l’Occident autour de l’Ukraine.
Des missiles ont été tirés depuis la Biélorussie, soutien logistique de la Russie, en direction de la région frontalière de Tcherniguiv, au nord-est de Kiev.
La Biélorussie, une ex-république soviétique alliée à la Russie, est le dernier pays d’Europe qui applique encore la peine de mort avec plusieurs exécutions chaque année.
Wimbledon pourrait bannir les joueurs de tennis russes et biélorusses de la compétition, sur fond d’invasion en Ukraine.
Allié de Vladimir Poutine, le dictateur Alexandre Loukachenko a permis à l’armée russe d’envahir l’Ukraine.
Proche de Vladimir Poutine, le président de la Biélorussie a annoncé que son pays allait déployer davantage de militaires à la frontière avec l’Ukraine. Alexandre Loukachenko a cependant assuré qu’ils ne participaient pas à l’opération russe.
Alexandre Loukachenko est un allié de Moscou. Kiev a indiqué que les forces russes utilisent le territoire biélorusse pour préparer l’attaque contre l’Ukraine.
Ce jeudi 10 février, les armées russe et biélorusse ont débuté des manœuvres en Biélorussie, durant dix jours. Ces manœuvres surviennent en pleine tension entre la Russie et l’Occident sur le dossier ukrainien.
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