Ce mardi 9 avril aux alentours de 16 heures, deux étudiantes se sont violemment battues à l’extérieur du collège Robert. J.Ardon à Montgaillard. Selon nos informations, la police est intervenue et les familles ont porté plainte. Une enquête a été ouverte.
La scène, qui s’est déroulée dans les couloirs du cinéma Pathé Lingostière de Nice, a été filmée et diffusée sur les réseaux sociaux. Ces violences seraient dues à des “comportements malveillants”.
Les autorités toulousaines ont reçu des signalements sur des combats clandestins organisés par des collégiens scolarisés dans un établissement réputé de la ville. Ces bagarres ont été immortalisées en vidéo.
Une violente agression éclate entre plusieurs individus cette nuit aux alentours de 2h30 dans la station Ola sur la quatre voies de Sainte-Suzanne. Dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux, on y voit des faits d’une grande violence : échange de coups de poing, de pieds ou encore un rétroviseur arraché. Une enquête a été ouverte.
Depuis la réouverture des boîtes, il y a quelques semaines, les images de bagarres aux abords de celles-ci sont nombreuses. À la sortie des discothèques, les esprits s’échauffent et la fête est gâchée. Angel Porras, président de la branche bars, brasseries et discothèques de l’UMIH fait le point sur la sécurité aux abords des établissements de nuit.
Depuis peu, plusieurs vidéos de bagarres aux abords de boîtes de nuit ont été relayées sur les réseaux sociaux. La préfecture a fait savoir que les contrôles et les sanctions pourraient être renforcés afin d’y remédier. Les boîtes de nuit et discothèques, par l’intermédiaire de Christine Rémy, vice-présidente de la section nuit de l’UMIH, contactée par LINFO.re, se disent être sanctionnées de manière injuste alors que les gens ont été très nombreux à retrouver une liberté dont ils ont été privés depuis deux ans.
Depuis la réouverture des boîtes de nuit en mars dernier, de nombreux débordements ont été constatés. Plusieurs vidéos montrant de violentes bagarres ont circulé sur les réseaux sociaux ces derniers jours. Face à cette montée de la violence aux abords des discothèques, le préfet Jacques Billant pourrait renforcer les contrôles et prendre des sanctions.
Depuis l’ouverture des discothèques de l’île, en mars dernier, les débordements aux abords de ces établissements se multiplient, vidéos à l’appui. Ce week-end, des bagarres ont éclaté près des discothèques de Saint-Gilles, notamment dimanche au petit matin.
Nouvelle scène de violence aux abords d’une boîte de nuit à La Réunion, dans l’Ouest de l’île. Une vidéo circulant sur les réseaux sociaux montre un homme se faire agresser par un autre homme. Assis dans sa voiture, l’homme se fait violemment frapper à plusieurs reprises.
Nouvelle scène de violence à La Réunion. Une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux montre une nouvelle fois une bagarre sur fond d’alcool entre deux individus dans les rues de Saint-Pierre. Les internautes sont une nouvelle fois choqués par les violences à la sortie des boîtes de nuit.
Les faits se sont déroulés ce dimanche soir à Saint-Gilles devant une discothèque bien connue sur l’île. Une violente bagarre a éclaté entre plusieurs individus. La vidéo a été partagée des milliers de fois sur les réseaux sociaux depuis dimanche soir. La préfecture avait communiqué la semaine dernière en précisant que "des débordements avec troubles à l’ordre public ont été constatés aux abords des établissements de nuit notamment durant le week-end de Pâque."
Ce jeudi 31 mars, après le rixe qui a eu lieu dans le lycée Patu de Rosemont, à Saint-Benoît, les gendarmes poursuivent leur opération de contrôle pour le deuxième jour consécutif. Ce matin, ce sont 10 bus scolaires qui ont été contrôlés, dont 90 sacs fouillés. Durant ce contrôle, 5 goupilles ont été saisis. Au total, ce sont 11 élèves qui ont été exclus de l’établissement après l’évènement qui a eu lieu mardi.
Des affrontements ont eu lieu au sein du lycée professionnel Patu de Rosemont ce mardi 29 mars dans la matinée. Au total, ce sont 7 élèves qui ont été placés en garde à vue à la suite d’affrontements entre bandes rivales au sein de l’établissement. Une vingtaine de gendarmes sont intervenus sur place. Des élèves ont même été blessés. Une élève de l’établissement dit ne plus se sentir en sécurité.
Ce mardi 29 mars à Saint-Benoît devant le Lycée Professionnel Patu de Rosemont, une violente bagarre entre bandes rivales de Saint-André et Saint-Benoît a éclaté depuis 9h du matin. Sept élèves du lycée, un majeur et 6 mineurs, ont été interpellés et placés en garde à vue. Une enquête a été ouverte, a indiqué le parquet de Saint-Denis. De son côté, le maire de Saint-Benoît, Patrice Selly veut des sanctions "les plus fortes possibles".
Des affrontements ont eu lieu au sein du lycée professionnel Patu de Rosemont ce mardi 29 mars dans la matinée. Au total, ce sont 7 élèves qui ont été placés en garde à vue à la suite d’affrontements entre bandes rivales au sein de l’établissement. Une vingtaine de gendarmes sont intervenus sur place. R., le frère d’un élève bénédictin blessé lors de la rixe, témoigne pour LINFO.re
Ce mardi 29 mars à Saint-Benoît devant le Lycée Professionnel Patu de Rosemont, une violente bagarre entre bandes rivales de Saint-André et Saint-Benoît a éclaté depuis 9h du matin. Sept élèves du lycée, un majeur et 6 mineurs, ont été interpellés et placés en garde à vue, selon les gendarmes.
Un autre drame s’est déroulé lors du réveillon ce vendredi 24 décembre dans la commune de Saint-André. Un homme a été poignardé à mort par un autre individu. L’auteur des coups de couteau a été placé en garde à vue.
Un jeune homme de 18 ans originaire de Montgaillard a été agressé par plusieurs personnes mardi, dans un parking de Champ Fleuri, près d’Aquanor. Une personne a été placée en garde à vue en lien avec cette affaire.
Les deux hommes jugés en comparution immédiate ce lundi après la bagarre qui a éclaté lundi dernier entre plusieurs hommes, au Beach Club, à Saint-Gilles écopent de prison ferme. Le premier accusé, Imiza S., écope de 3 ans de prison. Le second, Lebon J., écope quant à lui de 18 mois de prison, dont 6 avec sursis.
Nouvelle forme de banalisation de la violence chez les jeunes. Des jeunes de plusieurs collèges de Saint-Pierre se battent et partagent les vidéos sur les réseaux sociaux. Le compte « combat 97410 » compte plus de 500 abonnés sur Instagram. Ces vidéos ont été vues des milliers de fois.
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