Des faits divers en lien avec des attaques de nature terroriste pour la plupart, lesquelles sont perpétrées dans la capitale de Burkina Faso, Ouagadougou (Ouaga).
Le Groupe pour le soutien de l’islam et des musulmans (GSIM) a revendiqué les attaques de vendredi à Ouagadougou, au Burkina Faso, qui ont fait 8 morts parmi les militaires. Le groupe affirme avoir agi en représailles à une opération française au Mali.
Près de 24h après les attaques de l’ambassade de France et de l’état major des armées à Ouagadougou, les autorités locales dressent un nouveau bilan.
L’état-major général des armées à Ouagadougou a été la cible d’une attaque terroriste dans la journée de vendredi. A part les échanges de tirs, une forte explosion a également retenti dans le camp.
Dans le centre de Ouagadougou, des tirs ont été entendus, vendredi matin, à proximité de l’ambassade de France, visée par une attaque terroriste. Des blessés sont à déplorer parmi la population et les forces de l’ordre.
Trois hommes d’identité inconnue ont ouvert le feu sur les clients d’un restaurant à Ouagadougou. La majorité de la clientèle est des expatriés. Deux assaillants du ont été tués par les forces d’intervention, annonce une source sécuritaire.
Les autorités à Ouagadougou poursuivent leurs enquêtes suite à l’attaque terroriste qui a visé un hôtel et restaurant fréquentés par les Occidentaux. Une vingtaine de personnes auraient déjà été interpellées par la police.
Après l’attaque terroriste survenue vendredi à Ouagadougou, capitale du Burkina Faso, le Quai d’Orsay a lancé un appel à ses 3 500 ressortissants pour qu’ils soient plus vigilants.
Trois collègues originaires du Val d’Oise ont trouvé la mort au Burkina Faso, dans l’attaque perpetrée par des djihadistes. Arnaud Cazier, Eddie Touati et Antonio de Oliveira Basto dînaient ensemble au café-restaurant Le Cappuccino quand l’attaque terroriste a eu lieu. Leurs proches sont sous le choc de cette disparition soudaine.
Vingt-neuf personnes, dont de nombreux étrangers, ont été tuées lors d’un raid jihadiste contre un hôtel et un restaurant de Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso. Trois Français, salariés d’une même entreprise de transports et levage du Val-d’Oise, figurent parmi les tués.
Deux français figureraient parmi les victimes des attaques qui ont visé un hôtel et un café restaurant vendredi soir à Ouagadougou.
Vendredi soir, des hommes armés ont pris d’assaut un hôtel du centre-ville de Ouagadougou (Burkina) fréquenté par les Occidentaux. Le bilan provisoire annoncé par les autorités locales fait état d’une vingtaine de morts. L’attaque a été revendiquée par le groupe al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).
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