Accusé d’avoir tué son épouse en décembre 2020, Cédric Jubillar sera jugé devant la cour d’assises du Tarn, selon la cour d’appel de Toulouse (Haute-Garonne) dans un arrêt rendu ce jeudi 26 septembre. Le procès est attendu en 2025.
Environ 60 membres des forces de gendarmerie ont été déployés sur un site qui avait déjà été inspecté en 2022 et 2023. Cette nouvelle fouille s’inscrit dans le cadre d’une enquête judiciaire supplémentaire.
Jeudi 8 février, la Cour d’appel de Toulouse a ordonné un supplément d’information dans le cadre de la disparition de Delphine Jubillar. Cette demande a ainsi entraîné la réouverture de l’enquête.
Dans l’affaire Delphine Jubillar, une récente révélation par un témoin inattendu pourrait apporter de nouveaux éclaircissements sur la disparition de l’infirmière du Tarn en décembre 2020.
Le procès inaugural de 2024 sera celui de l’affaire Théo, symbolique des violences policières. D’autres procès notables incluent les attentats de Trèbes, l’assassinat de Samuel Paty, et le jugement de Marine Le Pen pour l’affaire des assistants parlementaires.
Le parquet a décidé de renvoyer Cédric Jubillar devant la cour d’assises du Tarn. Celui-ci sera jugé pour le meurtre de son épouse Delphine, disparue depuis décembre 2020.
Après la clôture de l’enquête sur la disparition de Delphine Jubillar à Cagnac-les-Mines (Tarn) dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020, il est important de comprendre les implications de cette étape pour l’avenir de l’affaire.
C’est la septième fois que la défense de M. Jubillar demande la remise en liberté de son client. Ce dernier, lui, ne cesse de clamer son innocence dans la disparition de sa femme, Delphine.
"Le résultat de cette demande va procéder d’une analyse et d’une volonté des magistrats de remettre ou non cet homme en liberté dans l’attente manifestement de son procès", a déclaré Maître Emmanuelle Franck, avocate de Cédric Jubillar.
Des nouvelles analyses du réseau téléphonique ont permis de déterminer une autre hypothèse : le portable de Delphine Jubillar aurait pu ne jamais quitter la maison familiale la nuit de sa disparition. Son époux, Cédric Jubillar, pour sa part, a toujours assuré qu’elle était sortie avec son téléphone.
Les lunettes brisées de Delphine Jubillar ont, de nouveau été, analysées par une spécialiste en identification par empreintes génétiques.
"Cédric Jubillar ne peut absolument pas être remis en liberté", a estimé Mourad Battikh, avocat de plusieurs parents de l’infirmière, disparue en décembre 2020.
Pour rappel, l’Affaire Jubillar est une affaire criminelle qui a commencé par la disparition, dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020, de Delphine Jubillar, infirmière et mère de famille habitant Cagnac-les-Mines (Tarn). Son mari Cédric est le principal suspect…
Cédric Jubillar, soupçonné d’être derrière la disparition de Delphine Jubillar, fait face à son ex-codétenu ce jeudi 12 mai. En effet, ce dernier a confié aux autorités avoir recueilli les aveux du mis en cause…
La meilleure amie de Delphine Jubillar est l’une des dernières personnes à l’avoir vue en vie. Elle a accepté de raconter les heures avant la disparition de l’infirmière de 33 ans.
De nouvelles expertises seront effectuées sur le téléphone de Delphine Jubillar qui avait été activé à six reprises la nuit de sa disparition.
Plus d’un an après la disparition de Delphine Jubillar, les amis de l’infirmière continuent de se mobiliser et ne lâchent rien. Ils ont publié une vidéo remplie de photos constituées de la jeune femme.
Les juges d’instruction chargés de l’enquête sur la disparition de Delphine Jubillar ont entendu cinq membres de la famille de l’infirmière de 33 ans.
Ce rapport d’expertise contredit la version de Cédric Jubillar, selon laquelle il a mis son téléphone en mode avion la nuit de la disparition de son épouse, Delphine.
Une voisine de la famille Jubillar ainsi que sa fille ont entendu des cris de femme et des chiens aboyer le soir de la disparition de Delphine.
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