Le pilote Français Sébastien Loeb était au volant d’une voiture de 2018. Il ouvre la course ce mercredi au Pérou.
Comme le note Eurosport, il s’agit du 11e succès d’étape sur le Dakar en 4 éditions de Sébastien Loeb. Sur les 342 kilomètres de l’épreuve, le pilote a devancé de peu Nani Roma, et cette victoire lui permet de revenir à 4 unités de Jean-Louis Schlesser et Bruno Saby avec leurs 15 succès d’étapes.
"On fait une bonne spéciale, on ne fait pas vraiment d’erreur", s’est félicité Sébastien Loeb, en poursuivant : "on ne s’est pas trompé dans la navigation, même si ce n’était pas toujours la route idéale...". Auparavant, la navigation était l’un des points faible du tandem Loeb/Elena, notamment en 2016 lorsqu’ils avaient perdu 2 heures et la tête du classement général.
"On ne voulait pas ouvrir, c’est sûr", assure le Français qui préfère relativiser : "on était loin sur la piste, ça ne servait pas à grand chose d’être aussi loin car les traces étaient quand même marquées. Mais oui, la stratégie de ne pas ouvrir était la bonne". Pourtant ce mercredi, c’est lui qui va ouvrir la course.
Sébastien Loeb est également rassuré que sa voiture, une Peugeot 3008 DKR de 2018, peut toujours gagner même si son véhicule n’a pas progressé, à contrario de ceux des concurrents. Il est ravi d’avoir bien roulé, notant qu’il n’y avait pas vraiment toutefois d’écart. "Globalement, c’est bien. La voiture est encore dans le coup. Donc il y a moyen de jouer un peu", assure la star des pistes.
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