Mi-février, les bureaux administratifs du club de la capitale, implantés à Boulogne-Billancourt, ont fait l’objet d’une perquisition dans le cadre de l’affaire connue sous le nom de "barbouzeries".
Le siège du Paris Saint-Germain, basé à Boulogne-Billancourt, a été l’objet d’une perquisition mi-février dans le cadre d’une enquête concernant des allégations de faveur fiscale accordée au club lors du transfert de Neymar en 2017. Cette information a été confirmée jeudi par une source proche du dossier à l’AFP, corroborant ainsi une publication du Monde. Un représentant du PSG a déclaré que le club coopérait pleinement avec toutes les parties impliquées dans cette affaire, dans le but de mettre fin à la circulation de "fausses informations" à son encontre.
Le PSG et son président, Nasser Al-Khelaïfi, font face à des allégations majeures concernant un traitement de faveur présumé lors du transfert de Neymar en 2017 pour 222 millions d’euros. Cette enquête s’inscrit dans une investigation en cours depuis septembre 2022, se concentrant sur des ’présumées’ activités d’influence de l’ancien directeur de communication du club, Jean-Martial Ribes, relaient les autres médias comme Le Parisien.
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La justice enquête sur d’éventuelles tentatives de l’ex-vice-président macroniste de l’Assemblée nationale, Hugues Renson, d’obtenir des "avantages fiscaux" pour le Paris Saint-Germain lors du transfert record de Neymar. En mi-janvier, le ministère de l’Économie et des Finances a été perquisitionné dans cette affaire, concernant notamment le bureau du directeur général, précédemment occupé par Jérôme Fournel, maintenant directeur de cabinet du ministre Bruno Le Maire. Le PSG affirme avoir agi conformément aux règles fiscales et dénonce une campagne médiatique contre le club avant le Mondial au Qatar en 2022.
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