Quel match ! A la suite d’un 3 - 3 durant le temps réglementaire, l’Espagne a fini par s’imposer contre la Croatie lors des prolongations. Le match s’est finalement terminé sur un score de 5 - 3.
A la pause à Copenhague, la possession de balle est largement en faveur de l’Espagne, soit 68 % contre 32 % pour la Croatie. Les Espagnols se sont ainsi créés le plus d’occasions sérieuses avec cinq tirs cadrés contre zéro pour les Croates.
L’Espagne aurait pu ouvrir le score à deux reprises, par Koke à la 16e minute et par Morata à la 19e minute. Ce manque d’efficacité a été puni par Simon ayant offert le premier but aux Croates à la 20e minute. Mais rapidement, Sarabia offre à la Roja l’égalisation. La première mi-temps s’est achevée par un match nul (1 - 1).
Comme pour la première période, l’Espagne a parfaitement maîtrisé le ballon autour de la surface Croate. A la 57e minute de jeu, Cesar Azpilicueta a inscrit le second but pour la Roja. Le centre Torres a trouvé la tête d’Azpilicueta qui n’a laissé aucune chance au gardien de but Croate. Morata a également marqué un but sur un coup franc espagnol, mais il a finalement été annulé en raison d’un hors jeu. A la 77e minute, Ferran Torres a marqué le troisième but pour son équipe.
Du côté de la Croatie, Mislav Orsic a marqué le second but en faveur de son équipe à la 85e minute du match. Sur un centre de Mislav à la 90e minute, Mario Pasalic a marqué un autre but pour la Croatie et a égalisé avec l’Espagne.
Les Croates comme les Espagnols ont joué le tout pour le tout dans cette prolongation de 30 minutes. A la 100e minute du jeu, l’Espagnol Alvaro Morata a marqué le 4e but en faveur de son équipe sur un centre de Daniel Olmo. Le gardien croate n’a rien pu faire face à l’intensité de la frappe. Trois minutes après ce but espagnol, Mikel Oyarzabal a signé le 5e but pour la Roja en trompant le gardien croate.
Dans la seconde période des prolongations, les Croates se sont offerts une attaque dangereuse. Servi par Pasalic, Budimir a tenté une frappe, mais elle est passée à côté du poteau gauche espagnol. Les hommes de Luis Enrique n’ont plus pris de risque et ont fait tourner le plus possible le ballon.
> Lire aussi nos autres articles sur le Championnat d’Europe de Football