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Selon RTL, la LFP a pris position et sera partie civile dans le dossier des injures racistes. Sa décision survenait à la suite des événements racistes (ces cris de singes) ponctuant la rencontre Dijon-Amiens.
Selon la présidente de la Ligue de football professionnel sur RTL, le club d’Amiens encourt une sanction disciplinaire. Nathalie Boy de la Tour associait la responsabilité de l’équipe à celle du supporter. Ce dernier a en effet conduit à l’interruption du match entre Dijon et Amiens.
Dans ce dossier, la LFP a reçu le soutien de la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme. Elles sont toutes les deux "partie civile" dans cette affaire.
La présidente du football français a prononcé un discours favorable au capitaine de l’équipe amiénoise. Pour cette dernière, Prince Gouano s’est comporté d’une manière exemplaire en canalisant toutes ses émotions. En plus de cela, elle a reconnu tous les gestes des membres du staff. Le "racisme n’a pas sa place dans les stades" a-t-elle conclu.
Nathalie Boy de la Tour se dit croire aux actions de prévention. Pour cela, les jeunes seront formés à "la lutte contre toute forme de discrimination". Certes, c’est un travail de long terme, mais dont les résultats sont encourageants.
Concernant le dépôt ou non de plainte, la dirigeante de la Commission du Championnat a respecté les positions du meneur d’équipe d’Amiens. Elle s’est également prononcée au sujet de l’homophobie comme quoi "la ligue combat l’homophobie comme elle combat le racisme".
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