Le président du Comité d’organisation des JO 2024 a assuré ce jour, que plusieurs millions de places sont encore à pourvoir pour assister aux différentes disciplines durant les Jeux.
Il n’est pas encore trop tard pour les retardataires qui veulent commander leurs billets pour les Jeux Olympiques 2024 ! Invité sur l’émission « Télématin » sur France 2, Tony Estanguet a confirmé l’information : il reste encore des « millions de places » pour regarder les JO 2024.
Environ 2,8 millions de tickets ont été mis à disposition sur la plateforme de billetterie, cependant 900 000 places seulement ont été écoulés depuis le mois d’octobre. Le dirigeant sportif français a incité les Français à faire leur réservation. « N’hésitez pas », a déclaré l’ancien champion de canoe kayak.
Les Jeux Paralympiques auront lieu du 28 août au 8 septembre, le président du Comité d’Organisation a communiqué des renseignements concernant la disponibilité des billets. Selon ses déclarations, près de deux tiers des places restent encore accessibles à l’achat dans quasiment toutes les disciplines.
Cette annonce offre une opportunité unique aux passionnés de sport et aux amateurs de l’événement paralympique. Tony Estanguet n’a pas hésité à vanter les mérites de ces compétitions de classe mondiale. « N’hésitez pas à venir ! Ce sont les meilleurs athlètes », a affirmé le médaillé français.
Le tournoi international prévoit d’accueillir plus de 350 000 visiteurs en situation de handicap ainsi que 4 400 para sportifs, créant ainsi un environnement inclusif et dynamique où l’excellence sportive et la diversité sont célébrées. « Un match de cécifoot au pied de la tour Eiffel avec des billets à partir de 15 euros, c’est une expérience inoubliable », a ajouté Tony Estanguet.
Dans un contexte où les débats sur la participation des États à la compétition olympique suscitent des opinions divergentes, Tony Estanguet a pris la parole pour plaider en faveur de l’inclusion de tous les pays, indépendamment des réalités géopolitiques qui pourraient exister.
Cette position intervient alors que des voix politiques, à l’instar d’Adrien Quatennens, député de La France Insoumise (LFI), expriment le souhait de voir les athlètes israéliens concourir sous une bannière neutre. La question de la neutralité politique dans le sport demeure ainsi un enjeu complexe, où les considérations sportives se mêlent étroitement aux enjeux diplomatiques et éthiques.