Les autorités françaises ont fait savoir son intention de procéder à une analyse ADN dans une affaire de meurtre jugée aux Seychelles.
Un ressortissant français de 34 ans est accusé en mai par les autorités seychelloises du meurtre de sa petite amie (32 ans). La victime a été retrouvée pendue au Club Med des Seychelles sur l’île de Ste Anne, le 27 avril dernier.
Lors du procès mardi 3 août, il est indiqué que les preuves ADN, collectées par les enquêteurs, n’ont pas encore été analysées. Pour une analyse ADN, il faut sortir les échantillons des Seychelles et les envoyer dans un autre pays comme la France. Les échantillons d’ADN dans cette affaire n’ont pas pu quitter l’archipel pour l’instant en raison de la crise sanitaire liée à la Covid-19.
La police seychelloise a déjà envisagé de réaliser l’analyse ADN à Maurice, mais les responsables qui transportent les ADN devraient se mettre en quarantaine obligatoire avec les preuves. Ce qui n’est pas envisageable pour la bonne conservation des preuves, estiment les autorités seychelloises.
Dans cette affaire de meurtre, les autorités françaises se sont alors proposées de prendre en charge l’analyse ADN, rapporte Seychellesnewsagency.com.
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