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La réserve de graphite dans le sous-sol malgache est évaluée à 26 millions de tonnes, dont une grande partie reste encore à exploiter.
La quantité de production de graphite à Madagascar pourrait la propulser en tête de la production de ce minerai en Afrique. Avec près de 8 % des réserves mondiales de graphite, le pays se classe déjà dans le top 10 mondial, note L’Express de Madagascar. Les tensions économiques et la rivalité sino-américaine en Afrique pourraient favoriser le graphite malgache. La Chine, principal producteur mondial, a récemment restreint ses exportations, ouvrant des opportunités pour d’autres pays africains. La transition énergétique et l’évolution technologique alimentent la demande de graphite, positionnant Madagascar comme le deuxième producteur africain après le Mozambique.
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Madagascar se prépare à exploiter ses vastes réserves de graphite à travers divers projets miniers. Cette initiative promet une production et une exportation substantielles, soutenant ainsi l’économie nationale et le secteur minier. Des projets tels que Fotadrevo et Ampanihy visent à fournir jusqu’à 150 000 tonnes de graphite par an à terme. Selon un rapport de l’Initiative pour la Transparence des Industries Extractives (EITI) de 2022, Madagascar détient 26 millions de tonnes de graphite naturel, dépassant largement les réserves du Mozambique. Les principaux projets comprennent Nextsource, Black Earth Minerals, Gold Sands, Tirupati et d’autres.
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