Selon l’enquête diligentée par le parquet de Bobigny, tous les soupçons de pédophilie, de meurtre d’enfant ou de trafic d’organes ont été levés concernant Sébastien Judalet, le Français lynché à Madagascar.
Selon Le Parisien, les gendarmes de la section de recherches de Paris - en charge des investigations - ont épluché les comptes bancaires, les connexions Internet et les disques durs de Sébastien Judalet et tous les sordides soupçons qui pesaient sur ce Français lynché et brûlé vif à Nosy Bé ont été levés.
Ce mardi, le parquet de Bobigny a indique qu’"aucun élément confortant la rumeur de pédophilie ou de trafic d’organes d’enfant n’a été découvert" lors de l’enquête pour meurtre menée en France après la mort - le 3 octobre 2013 - de Sébastien Judalet.
Une perquisition a été menée à son domicile et ses proches ont également été interrogés, a expliqué l’avocat de la famille de ce conducteur de bus à la RATP, âgé de 38 ans, qui vivait à Montreuil.