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Pour retrouver les traces du Cessna 208B qui s’est écrasé en mer à moins de 3km de l’aéroport de Moheli (Comores), le 26 février, les recherches continuent. Dans ce cadre, le gouvernement comorien fait appel au Bureau d’enquêtes et d’analyses de la France.
Pour rappel, un petit avion (Cessna 208B) de la compagnie comorienne AB Aviation a disparu des radars au large de l’île de Mohéli samedi 26 février. L’appareil, à bord duquel se trouvaient 12 passagers et 2 pilotes, se serait écrasé à moins de 3 km de l’aéroport.
Accompagnés des gardes-côtes comoriens, des plongeurs ont essayé de quadriller la zone supposée du crash. Depuis le début des recherches, ils n’ont pourtant trouvé que quelques morceaux d’épave de l’appareil et quelques bagages. A ce stade, aucun passager ni membre d’équipage n’a été retrouvé, selon la compagnie. AB Aviation informe jour après jour des efforts entrepris pour retrouver les traces du Cessna 208B.
Comme les recherches se compliquent avec le temps, il faut des moyens supplémentaires pour assurer l’opération. Le gouvernement comorien a donc décidé de faire appel aux services du Bureau d’enquêtes et d’analyses (BEA) de la France. "Nous avons fait appel à tous nos partenaires, dont la France, pour nous accompagner dans les opérations de recherches du fuselage et des corps", a déclaré le ministre des Transports, Ahmed Ali Bazi.
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