Près d’une centaine de cétacés se sont échoués sur les îles de Chatam, au sud de la Nouvelle-Zélande, ont affirmé, mercredi, les autorités en charge de la préservation de la biodiversité. Leur mort reste pour l’heure inexpliquée.
Les autorités en charge de la préservation de la biodiversité néo-zélandaise ont annoncé, mercredi, l’échouage de près d’une centaine de "dauphins-pilotes" sur les îles de Chatam, au sud du pays. D’après le ministère de la biodiversité, la plupart de ces cétacés se seraient échoués sur les plages le week-end passé.
A l’arrivée des autorités en charge de la protection de la faune sauvage, 69 globicéphales et trois dauphins étaient déjà morts, selon Jemma Welch au ministère à la biodiversité. Elle a également affirmé que 28 "dauphins-pilotes" ont dû être euthanasiés pour ne pas attirer les grands requins blancs près des côtes.
Leurs carcasses se décomposeront naturellement, mais d’après les médias, la communauté Maori a organisé une cérémonie en l’honneur de leur "âme". Bien qu’étudiées depuis des décennies, les raisons de ce phénomène restent un mystère. Les îles Chatham avaient déjà connu le plus grand échouage en masse de Nouvelle-Zélande lorsqu’un millier de cétacés s’étaient échoués en 1918.