La maladie de Vladimir Poutine fait l’objet de nombreuses spéculations ces derniers jours. Les rumeurs étaient amplifiées cette semaine après un article du New York Post selon lequel le président russe allait subir une intervention chirurgicale pour soigner un cancer.
Les rumeurs ont circulé depuis quelque temps concernant l’état de santé de Vladimir Poutine. Le dirigeant russe, inquiet pour sa santé, aurait consulté son médecin Yevgeny Selivanov une trentaine de fois ces dernières années, rapporte L’Indépendant. D’après un article du New York Post paru cette semaine, le président de la Russie allait subir une opération chirurgicale pour soigner un cancer. L’information émane d’une chaîne du réseau social Telegram, baptisée General SVR sous la direction d’un ancien haut responsable du renseignement extérieur russe connu sous le pseudonyme Viktor Mikhailovich.
La maladie de Vladimir Poutine reste inconnue, mais son évolution progresse, souligne la même source citée par CNews. Il s’agirait de problèmes à l’abdomen ou à la thyroïde. Il est toutefois important de prendre cette information avec prudence faute de vérification indépendante. D’après le New York Post, le sujet est extrêmement sensible et protégé au Kremlin. Interrogé au sujet de cette maladie du président russe, Moscou a d’ailleurs nié catégoriquement son existence. Par ailleurs, des espions occidentaux auraient affirmé qu’il souffrirait d’un trouble cérébral, causé par la maladie de Parkinson ou par la "rage roid". Une maladie qui résulterait d’un traitement aux stéroïdes contre le cancer. Des informations qui doivent encore être vérifiées.
Malgré l’absence de confirmation sur cette maladie de Vladimir Poutine, la chaîne Telegram General SVR affirme que le dirigeant russe qui mène une offensive en Ukraine devra bientôt déléguer son pouvoir. Et pour cause : il doit être opéré à une date qui n’a pas encore été divulguée. Durant son intervention chirurgicale et durant une courte période de convalescence, il devrait céder le pouvoir à Nikolai Patrushev. Il s’agit d’un proche, ancien du KGB, du FSB, et ancien chef de la police fédérale. D’après la source, l’homme âgé de 70 ans devrait prendre les commandes de la Russie pour "deux à trois jours au maximum".
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