Samedi 21 mai, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a fait part de ses inquiétudes quant à l’augmentation des cas de variole du singe dans le monde, et appelle à la vigilance…
"La situation évolue et l’OMS s’attend à ce qu’il y ait davantage de cas"… La variole du singe était présente dans des zones endémiques en Afrique, notamment au Bénin, au Cameroun, au République démocratique du Congo, en République centrafricaine, au Gabon, au Ghana, en Côte d’Ivoire, au Liberia, au Congo, au Nigeria, en Sierra Leone et au Soudan du Sud, comme le précise TF1Info.
Le vendredi 20 mai, un premier cas de la maladie a été enregistré en France. Et cela fait deux semaines qu’elle est arrivée dans d’autres pays, comme les États-Unis, le Canada, Israël, l’Italie, le Royaume-Uni, le Portugal, la Suisse, l’Espagne, l’Allemagne, la Grèce, la Belgique et la Suède. En somme, depuis le vendredi 13 mai, 12 États dits ‘non endémiques’ ont détecté des cas de cette variole.
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Le samedi 21 mai, l’OMS a recensé 92 cas de variole du singe dans ces pays, suspectant 28 autres. De quoi inquiéter l’organisation qui a fait savoir "qu’il n’y a, pour l’instant, pas de lien entre les voyages et la propagation de l’épidémie".
Face à cela, l’Organisation mondiale de la santé appelle à la vigilance de chacun, plus particulièrement chez ceux ayant eu des contacts physiques avec des personnes symptomatiques.
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