Le prince Charles, l’héritier de la couronne britannique, a été détecté positif à la Covid-19 en mars. Après sa guérison, il a été déterminé de trouver des solutions.
Dans une interview donnée par visioconférence à la télévision britannique Sky News, le prince Charles, héritier de la couronne britannique, a parlé de l’épidémie de coronavirus. Testé positif à la Covid-19 en mars, il n’a souffert que de légers symptômes et n’a pas eu besoin d’hospitalisation. Le fils ainé de la reine Elizabeth II s’est ainsi isolé durant sept jours, selon les directives officielles.
Comme le rapporte le journal Le Figaro, le prince Charles, âgé de 71 ans est guéri du coronavirus et a estimé "d’avoir eu de la chance". "J’ai eu de la chance dans mon cas et je m’en suis sorti (avec une forme de la maladie) assez légère. Mais je l’ai eu et je peux comprendre ce que les autres ont enduré", a-t-il confié.
Lors de l’entretien, il a également annoncé compatir particulièrement avec ceux qui ont perdu des êtres chers et n’ont pu être à leurs côtés durant ce moment. "Cela, pour moi, est la chose la plus affreuse", a précisé le prince.
Le Royaume-Uni compte près de 40 000 personnes décédées de coronavirus, avec plus de 270 000 cas confirmés. Pour éviter que cette maladie n’arrive à encore plus de monde, le prince Charles s’est dit "déterminé à trouver une solution". "Les gens ont commencé à se rendre compte que nous devons remettre la nature au centre de tout ce que nous faisons et la mettre au centre de notre économie", a-t-il assuré.
A cette occasion, l’héritier du trône britannique a expliqué que plus nous affaiblissons le monde naturel, plus nous détruisons la biodiversité, plus nous nous exposons à ce genre de danger. "Nous avons eu d’autres désastres avec le Sras et Ebola et Dieu sait quoi d’autre", a-t-il formulé. D’après lui, toutes ces choses sont liées à la perte de biodiversité alors nous devons trouver une manière de remettre la nature au centre.
L’intégralité de cette interview sera diffusée plus tard, ce jeudi 4 juin, selon le journal Le Figaro.
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