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Du 18 au 24 septembre, le diocèse de Marseille organise une série de rencontres axées sur des thèmes essentiels tels que les inégalités économiques, les migrations et le changement climatique. Lors de ces événements, le pape est invité à rencontrer les évêques et des jeunes.
Le pape François a réitéré le dimanche 6 août que son voyage en septembre dans la deuxième grande ville française ne serait pas une visite d’État, mais serait entièrement consacré à la question migratoire. Lors de ce déplacement, le pape mettra en avant l’importance de cette problématique et cherchera à sensibiliser sur les défis et les enjeux liés aux mouvements migratoires dans le contexte actuel.
"Je suis allé à Strasbourg (en 2014), j’irai à Marseille (les 22 et 23 septembre), mais pas en France", a insisté le souverain pontife lors d’une conférence de presse dans l’avion le ramenant des JMJ de Lisbonne. Il a aussi exclu avoir un "problème" avec la France, rapportent les médias français comme La Provence. "Le problème qui me préoccupe c’est le problème méditerranéen, c’est pourquoi je vais en France. L’exploitation des migrants est criminelle", a appuyé le jésuite de 86 ans.
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Du 18 au 24 septembre, le diocèse de Marseille prévoit d’organiser des rencontres centrées sur les thématiques des inégalités économiques, des migrations et du changement climatique. Le pape François a été cordialement invité à participer à ces événements afin de rencontrer les évêques et des jeunes engagés dans ces questions importantes.
Au cours de son séjour, il célèbrera une messe ouverte au public et prendra part à une prière en hommage aux migrants disparus en mer, soulignant ainsi l’importance et la compassion pour les défis humanitaires liés aux déplacements de populations. "La Méditerranée est un cimetière. Mais ce n’est pas le plus grand : le plus grand cimetière se trouve dans le nord de l’Afrique. C’est terrible. Voilà pourquoi je vais à Marseille", a dit le chef de l’Eglise catholique.
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