Le Pacte mondial sur les migrations des Nations unies a été adopté, lundi, par plus de 150 pays lors d’une conférence tenue à Marrakech.
Malgré les critiques des nationalistes et des adeptes de la fermeture des frontières, le Pacte mondial sur les migrations des Nations unies a été adopté, lundi, rapporte journaldequebec.com. Une adoption qui s’est faite en conférence intergouvernementale devant quelques 150 pays réunis.
Ce texte a notamment pour objectif de renforcer la coopération internationale pour assurer une "migration sûre, ordonnée et régulière". Ce texte devra encore faire l’objet d’un ultime vote de ratification prévu le 19 décembre à l’Assemblée générale des Nations unies.
Une quinzaine de pays qui ont déjà approuvé le texte le 13 juillet à New York, ont annoncé leur retrait de ce Pacte o encore le gel de leur décision. Selon liberation.fr, il s’agit de l’Autriche, l’Australie, la Bulgarie, le Chili, l’Estonie, la Hongrie, l’Italie, la République tchèque, la République dominicaine, la Lettonie, la Pologne, la Slovaquie, la Slovénie et la Suisse.
Le futur chef de la diplomatie au Brésil, Ernesto Araujo, a aussi annoncé, lundi soir que son pays envisage de "se dissocier" de ce Pacte sur les migrations.
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