Alors que le conflit opposant Moscou et Kiev est toujours d’actualité, les Etats-Unis et leurs alliés du G7 ont annoncé de nouvelles sanctions visant la "machine de guerre russe". L’objectif est d’enrayer la capacité du Kremlin de poursuivre la guerre pour mettre fin à la crise en Ukraine.
Le sommet du G7 2023 s’ouvre ce vendredi 19 mai à Hiroshima, dans un contexte particulier : la guerre en Ukraine. C’est un sujet à l’ordre du jour, tout comme les conséquences du conflit sur l’économie mondiale. "Le G7 reste uni face à la menace de la Russie et ferme dans son soutien à l’Ukraine", a déclaré le Premier ministre britannique, Rishi Sunak.
Réunis au Japon jusqu’à dimanche, les dirigeants du G7 vont discuter d’une série de nouvelles sanctions à l’encontre de la Russie. Il devraient aussi renforcer les sanctions existantes et trouver les moyens pour lutter contre leur contournement, restreindre l’accès de Moscou au système financier international et s’engager à geler les avoirs russes jusqu’à la fin de la guerre en Ukraine, selon les médias.
Avant l’ouverture du sommet, Washington et Londres ont annoncé de nouvelles sanctions "significatives" visant à affaiblir la "machine de guerre" du Kremlin. Celles des Américains ont pour objectif de restreindre de manière importante l’accès de la Russie à des produits nécessaires à ses capacités de combat, selon le haut responsable de l’administration de J.Biden.
Pour sa part, le Royaume-Uni a annoncé de nouvelles sanctions contre le secteur minier russe. Londres cible notamment les importations d’aluminium, de diamants, de cuivre et de nickel afin de limiter la capacité de Moscou à financer sa guerre en Ukraine.
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