Dimanche 8 mai, la Maison Blanche a fait savoir dans un communiqué, que "le G7 tout entier" s’était "engagé, aujourd’hui, à interdire ou à supprimer progressivement les importations de pétrole russe".
L’exécutif américain déclare que cette décision "va porter un coup dur à la principale artère irriguant l’économie de (Vladimir) Poutine et le priver des revenus dont il a besoin pour financer sa guerre", rapportent notamment France Info et d’autres médias français. Toutefois, les engagements pris par chacun des membres du G7 n’ont pas été précisés.
Rappelons que le G7 est composé de l’Allemagne (présidente cette année), les États-Unis (qui ont déjà interdit l’importation d’hydrocarbures russes), la France, le Canada, l’Italie, le Royaume-Uni et le Japon.
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En marge d’une réunion virtuelle à laquelle a participé Volodymyr Zelensky, le président ukrainien, les chefs d’État et de gouvernement du Canada, de l’Allemagne, de la France, de l’Italie, du Royaume-Uni, des États-Unis, et du Japon lui ont martelé leur "engagement à prendre de nouvelles mesures pour aider l’Ukraine à s’assurer un avenir libre et démocratique". Mais aussi à "se défendre et de repousser de futurs actes d’agression", précise un texte publié après la rencontre.
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