Censure : quel est cet accord secret proposé par l’UE et dévoilé par Elon Musk ?

Un "accord secret illégal"

Un scandale éclate au sein de l’Union européenne. Elon Musk, PDG de X (anciennement Twitter), accuse Thierry Breton et la Commission européenne d’avoir instauré une censure secrète sur les réseaux sociaux. Le patron de Tesla soutient que l’UE a tenté de lui proposer un "accord secret illégal" visant à discrètement censurer le contenu en ligne. Cette révélation compromet la crédibilité des institutions européennes et soulève des interrogations sur la liberté d’expression et la régulation des plateformes numériques. Les accusations de Musk soulèvent des questions cruciales. Jusqu’où les régulateurs peuvent-ils aller pour contrôler le contenu en ligne sans tomber dans la censure ? Si les pratiques de l’UE sont avérées, elles pourraient créer un précédent dangereux pour la liberté d’expression sur internet.

Elon Musk contre Thierry Breton

Elon Musk, connu pour ses prises de position audacieuses, a dénoncé publiquement ce qu’il perçoit comme une tentative de l’UE de manipuler l’information en ligne, rapporte le site Cointribune.fr. Selon lui, Bruxelles aurait proposé à X un accord pour censurer le contenu sans en informer le public, en échange d’une immunité contre les amendes prévues par le Digital Services Act (DSA). Il affirme que certaines plateformes ont accepté cet accord, mais que X a refusé, préférant défendre la liberté d’expression. Cette confrontation a amplifié le débat sur la transparence et l’éthique des régulateurs européens, tout en mettant en lumière les pratiques controversées de certaines institutions. En réponse à ses accusations, Thierry Breton a nié l’existence d’un "accord secret". Il a insisté sur le fait que l’UE suit des procédures réglementaires transparentes et que toute proposition de censure est infondée. Néanmoins, le débat reste ouvert et alimente les préoccupations sur l’équilibre entre régulation et censure.

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