A l’issue du premier sommet européen, jeudi 1er octobre à Bruxelles, les décideurs envisagent des sanctions pour le régime en place en Biélorussie.
Les chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union européenne, rassemblés pour le sommet extraordinaire à Bruxelles des 1er et 2 octobre, ont pris la décision de sanctionner le régime de Loukachenko. L’UE prévoit de sanctionner une quarantaine de responsables bélarusses également.
De son côté, l’opposante bélarusse Svetlana Tikhanovskaïa a commenté au micro d’RTL que : "Si l’UE se rallie à nous (...) cela pourrait aider beaucoup".
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Selon les cas, ces responsables biélorusses sont accusés de falsification du résultat de la dernière élection présidentielle ou de répression contre l’opposition, rapporte Le Figaro.
Le lancement d’une "procédure écrite" permettant l’entrée en vigueur de ces sanctions est prévu vendredi. Ladite procédure permettra de geler les avoirs des responsables concernés qui sont dans l’UE et les interdira l’entrée sur le territoire de l’Union.
Seulement, le président biélorusse, Alexandre Loukachenko ne fait pas partie de cette liste, fait remarquer le président du Conseil européen, Charles Michel.
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