Vendredi, les dirigeants des pays les plus riches du monde (Etats-Unis, Japon, Allemagne, France, Grande-Bretagne, Canada et Italie) se sont réunis en Sicile pour la 43e édition de la conférence diplomatique, sommet G7. Ils ont abordé les dossiers concernant le climat, le terrorisme,…
Les sept chefs d’Etat du G7 se sont concentrés sur des sujets assez chauds lors de cette première journée du grand sommet G7. Les désaccords avec les Etats-Unis concernant le climat ou le commerce international faisait partie du débat. Ensuite, après une petite pose photo dans le majestueux théâtre grec de Taormina, à la mi-journée, ils ont traité plusieurs dossiers, principalement sur la lutte contre le tre le réchauffement planétaire, le terrorisme, le commerce international, et même la politique de sanction envers la Russie.
Selon le Président du Conseil de l’Italie, Paolo Gentiloni, il était difficile d’avancer sur le sujet concernant la lutte contre le réchauffement climatique durant de cette conférence, Washintong n’étant toujours pas déterminé. Lors d’une courte déclaration devant la presse, il a indiqué que l’administration américaine avait une "réflexion interne" sur la question et les autres pays en ont pris note. En ce qui concerne l’Italie, elle a confirmé son engagement absolu pour l’accord de Paris sur le climat.
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Les dirigeants des pays rassemblés à Taormina en Sicile estiment qu’il est nécessaire que les fournisseurs d’internet et les réseaux sociaux déploient plus d’effort pour renforcer la lutte contre le terrorisme. Pour faire suite à une requête de la Grande-Bretagne qui vient d’être touché par un attentat suicide, ils ont lancé un appel aux acteurs d’internet à se mobiliser davantage afin de mieux maîtriser les contenus terroristes. Cela a même été mentionné dans une déclaration commune signée par les dirigeants de sept des pays les plus riches de la planète.
Ce vendredi, Washintong a affirmé qu’il maintient sa position en ce qui concerne les sanctions vis-à-vis de la Russie pour son rôle dans la crise ukrainienne. Gary Cohn, un conseiller du président américain Donald Trump a bien précisé qu’ils n’allégeront pas les sanctions. Au contraire, s’ils doivent faire quelque chose, ils jugent qu’ils doivent être encore plus durs avec la Russie. le président veut que tout soit clair à ce sujet.