Ce dimanche 31 juillet clôture la fin de la Journée mondiale de la Jeunesse. Pour l’occasion, le pape François Ier a célébré en Pologne une messe pour plus d’un million de personnes.
Une messe finale pour les journées mondiales de la jeunesse
Le pape François Ier a profité de la fin de sa visite en Pologne, y compris à Auschwitz et à Czestochowa, pour célébrer la fin des Journées mondiales de la Jeunesse. Dans une messe rassemblant environ 2.5 millions de pèlerins, en Cracovie, le souverain pontife a laissé la parole à trois jeunes témoins à qui la foi a donné de la force. Il y avait alors une Polonaise mondaine, un chrétien syrien d’Alep, et un ex-drogué paraguayen. Après leur témoignage, François Ier les a mis en garde sur la possible confusion existant entre "le divan et le bonheur". D’après le pape, il ne faut pas se contenter d’un confort personnel douillet sans regarder les autres et se retrouver ensuite "étourdis et abrutis tandis que d’autres – peut-être plus éveillés, mais pas les meilleurs – décident de l’avenir pour nous".
Le monde toujours en guerre est la responsabilité des jeunes
Alors que la célébration tout en homélies et chants, était tiédie par l’attentat à Saint-Etienne-du-Rouvray, le pape n’a pas manqué de rappeler que le monde était actuellement en guerre. "La cruauté ne s’était pas arrêtée", a assuré François Ier au cours de sa visite à Auschwitz où un camp de concentration avait été créé par les nazis allemands, à l’époque. En cette fin des journées mondiales de la jeunesse, le pape François Ier a rappelé le rôle important des jeunes dans le monde. Il a déclaré que c’était à ces derniers d’enseigner aux adultes "à vivre ensemble dans la diversité, dans le dialogue, en partageant la multicultiralité non pas comme une menace, mais comme une opportunité".
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