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Les nouvelles attaques contre Israël contrarient Benyamin Netanyahou. Ce dernier est contraint d’écourter son voyage aux Etats-Unis pour pouvoir "diriger de près" les opérations de riposte.
Une roquette, lancée depuis la bande de Gaza, a frappé dans la nuit du dimanche 24 au lundi 25 mars une maison à Mishmeret, un peu plus au nord de Tel-Aviv, en Israël, provoquant un incendie. Le bilan fait état de cinq blessés légers, ont indiqué les secours sur les lieux. Ce qui envenime de plus en plus les tensions entre Israël et Palestine.
Cet évènement survient après le tir de roquettes en direction de la région de Tel Aviv depuis la bande de Gaza le 14 mars dernier. Il n’y avait aucun blessé à déplorer. Mais en représailles, Israël avait mené des frappes aériennes contre des positions du Hamas dans la région, dont un important site souterrain de fabrication de roquettes, selon Tsahal. Côté palestinien, il y avait eu quatre blessés.
Selon lefigaro.fr, les mouvements islamistes se déchargent de toute responsabilité. Ils démentent toute implication à cet acte provocateur commis sur Tel-Aviv. Ils laissent supposer que cette attaque pourrait être le fait de groupes rivaux ou dissidents.
L’attaque survient au moment où Benyamin Nétanyahou devait rencontrer Donald Trump. Dans un communiqué, le Premier ministre israélien a expliqué avoir écourté son séjour "pour diriger de près nos opérations". Il rajoute qu’"une attaque criminelle a été commise contre l’État d’Israël, et nous allons y répondre avec force".
Depuis le mois de mars de l’année dernière, 193 Palestiniens ont perdu la vie et plus de 6 000 autres ont été blessés par balles, selon un rapport du Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA) des Nations unies (ONU).
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