La capitale indienne New Delhi présente un chiffre record de pollution à la suite de la grande fête des lumières hindoue de Diwali.
Durant la grande fête des lumières hindoue de Diwali , les indiens ont fait exploser des millions de pétards comme à l’accoutumé en Inde. Avant cette célébration, la Cour suprême a déjà émis la non-autorisation de vente que des pétards jugés propres. Mais aussi, les autorités ont limité leur usage en seulement deux heures, entre 20h et 22h. Toutes ces mesures pour préserver l’environnement. Cependant, tard dans la soirée, des pétards avaient toujours retenti. Conséquence, des fumées ont pollué l’air qui devenait irrespirable dans la capitale New Delhi.
Comme tous les ans, selon l’expression des responsables, la capitale de 20 millions d’habitants devient « une chambre à gaz » à cette époque de l’année. En effet, la pollution atmosphérique atteint l’un de ses pics à New Delhi. L’ambassade américaine sur place a évoqué une concentration de particules fines supérieure à 1000 microgrammes par mètre cube d’air. Pourtant, la moyenne recommandée par l’Organisation mondiale pour la santé ou OMS est de 25 microgrammes.
Conséquences, un brouillard épais toxique a enveloppé toute la ville, rendant ainsi invisible les monuments historiques tels la Porte de l’Inde ou le Fort Rouge. Ce qui rend l’air irrespirable pour les habitants dont certains portaient des masques pour se protéger. En effet, la pollution de l’air pourrait entrainer des maladies cardiovasculaires ainsi que de cancer des poumons.
(Source : Le Figaro)