Jonathan Alpeyrie/SIPA
Mardi 13 septembre, au moins une centaine de soldats arméniens et azerbaïdjanais ont perdu la vie dans de violents affrontements. Le bilan devrait s’alourdir.
Dans la soirée de mardi, le ministère azerbaïdjanais de la Défense a indiqué dans un communiqué : "cinquante militaires azerbaïdjanais ont été tués à la suite d’une provocation arménienne d’une grande ampleur" à la frontière entre les deux nations. De son côté, le Premier ministre arménien Nikol Pachinian a recensé 49 militaires arméniens tués, soulignant que "ce n’est malheureusement pas le nombre définitif". L’Arménie et l’Azerbaïdjan s’accusent mutuellement d’être à l’origine des hostilités.
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Mardi, l’Azerbaïdjan a assuré avoir "rempli tous ses objectifs" dans les combats à la frontière avec l’Arménie, accusant son ennemi de violer le cessez-le-feu "de manière intense", un peu plus tard, rapportent 20 Minutes et d’autres médias français.
"Malgré une forte diminution de l’intensité des bombardements, l’ennemi continue d’essayer d’avancer", a précisé le ministère arménien de la Défense.
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