Tom Nicholson/Shutterstock/SIPA
Après des négociations tendues, le gouvernement israélien et le Hamas ont conclu un accord prévoyant la libération de 50 otages détenus par le mouvement palestinien contre une trêve de quatre jours. La ministre française des Affaires étrangères espère que des Français feront partie des otages libérés.
Dans la nuit du mardi 21 au mercredi 22 novembre, Israël et le Hamas ont conclu un accord pour la libération d’une cinquantaine d’otages détenus par le mouvement palestinien dans la bande de Gaza. En échange, une trêve de quatre jours sera observée.
Lors de son passage sur le plateau de France Inter, ce mercredi, la ministre française des Affaires étrangères, Catherine Colonna, a salué cet accord. C’est, selon ses dires, "un moment de réel espoir", car "c’est la première fois qu’on est aussi près de libérations effectives".
Mais alors que la Maison Blanche a précisé que trois ressortissantes américaines font partie des otages qui doivent être libérés par le Hamas, Paris ne peut pas annoncer le nombre de Français qui retrouveront la liberté.
"Il faut que chacune des parties tienne sa part du contrat, parce qu’il faut que rien ne vienne entraver ce qui est prévu, parce qu’il faut une mise en œuvre", selon la cheffe de la diplomatie française. En tout cas, elle espère qu’"il y a des Français" parmi ces otages à libérer.
"C’est un moment de réel espoir."
Catherine Colonna, ministre des Affaires étrangères, salue l’accord trouvé sur la libération de 50 otages israéliens du Hamas. "Nous espérons qu’il y a des Français parmi eux et nous y travaillons", dit-elle.#le710inter pic.twitter.com/eCNVldwZ87
— France Inter (@franceinter) November 22, 2023
> Suivez l’évolution du conflit israelo-palestienien sur Linfo.re