Jeudi 9 janvier, les autorités sanitaires chinoises ont annoncé avoir enregistré cinq cas du nouveau variant de mpox. Cependant, la situation est désormais maîtrisée grâce à des mesures strictes.
Connu pour provoquer de la fièvre et des lésions cutanées, le mpox avait incité la Chine à renforcer les contrôles aux frontières. Depuis le début de l’épidémie mondiale, le pays impose des tests aux voyageurs entrants.
Les autorités sanitaires ont confirmé, jeudi, un foyer de mpox clade 1b, lié à une personne ayant séjourné en République démocratique du Congo. Quatre cas supplémentaires, sans gravité, ont été détectés parmi ses contacts directs. À ce jour, aucun autre cas n’a été identifié.
Depuis 2022, le mpox a dépassé les frontières africaines pour s’étendre dans plusieurs pays, y compris des nations développées. Face à la hausse des cas signalés, l’OMS, qui a déclaré l’urgence sanitaire mondiale, a maintenu son niveau d’alerte maximal. Les autorités chinoises, déjà préparées par les tests frontaliers, poursuivent leurs efforts pour prévenir toute nouvelle épidémie. Pour la population mondiale, cette situation rappelle l’importance de la vigilance sanitaire et des actions coordonnées.
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