Illustration SIPA
Le drame se serait produit au moment où la jeune femme discutait avec son petit ami. Cette habitante du village de Kheriakani, dans l’est de l’Inde a été déclarée morte à son arrivée à l’hôpital.
Blessée à la main, à la poitrine et à la jambe, cette jeune Indienne de 18 ans aurait été inconsciente. Alors qu’elle était en pleine conversation avec son petit copain, la victime aurait branché son téléphone portable. L’appareil a ensuite explosé. Sa mort a été déclarée une fois son arrivée à l’hôpital. Le frère de la victime, citant les médecins, a déclaré que son décès aurait été causé par l’électrocution, mais non pas à cause de ses blessures. Les faits se sont déroulés dans un village de Kheriakani, dans l’est de l’Inde. Les circonstances précises de cet accident restent inconnues, mais une enquête en cours afin d’y voir plus clair.
D’après les informations relayées par le Daily Mail et les médias locaux, il s’agirait d’un téléphone de la marque Nokia commercialisé en 2010. Interrogée après cet accident, la multinationale finlandaise a déclaré que l’appareil n’est pas sorti de leurs usines. "Bien que nous n’ayons pu vérifier de manière indépendante les faits, nous pouvons confirmer que le téléphone mobile en question n’a pas été fabriqué ou vendu par HMD Global (la maison mère de Nokia)", détaille l’entreprise dans les colonnes du Parisien.
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Cette explosion meurtrière de téléphone portable n’est pas un cas isolé en Inde où des pièces de contrefaçons circulent librement sur le marché. En 2017, un consommateur est retourné dans un magasin en constatant que son téléphone ne marchait pas. L’appareil a ensuite brûlé au moment où le réparateur y avait inséré la carte SIM.
Akrabasıyla konuştuğu sırada cep telefonu patlayan 18 yaşındaki Uma Oram, hayatını kaybetti... ( : CEN) pic.twitter.com/Pu5b80a3T1
— Mamafih365 (@Mamafih365) 20 mars 2018
