L’Unicef rapporte que la pollution peut causer un grand danger sur les QI, les capacités linguistiques ainsi que les mémoires des enfants. Ce fléau affecte surtout l’Asie.
Les pays asiatiques sont les plus touchés par ce fléau. Selon l’Unicef dans un rapport intitulé « Danger In The Air », à New Delhi ou Pékin, plus de 15 millions d’enfants, de moins d’un an, sont exposés à la pollution. Les chiffres sont alarmants, d’autant plus que ces régions dépassent d’au moins six fois les plafonds dits sûrs pour la santé.
La pollution touchera non seulement les enfants, mais atteindra également les personnes âgées. Elle peut endommager la membrane qui protège le cerveau et donner libre accès aux toxines. Cette dernière va accentuer les maladies d’Alzheimer et de Parkinson. Selon l’UNICEF, l’air contient de plus en plus de nanoparticules de magnétite qui peut engendrer des maladies dégénératives , sans distinction d’âge. Il faut absolument prendre des mesures pour lutter contre la pollution souligne les Nations Unies et ne pas trop exposer les enfants en ayant recours aux systèmes de filtration de l’air ou le port de masques faciaux.
L’auteur de ce rapport d’Unicef, Nicholas Rees, révèle que la pollution est un danger pour le cerveau des bébés. Les impacts seront remarqués principalement sur leur mémoire, leur QI, mais aussi leurs capacités linguistiques. D’ailleurs, cette pollution remet en question la vie et l’avenir de tous les bébés, des retards dans les écoles, des résultats d’examens de plus en plus mauvais…