Pour la première fois, le gouvernement japonais reconnaît l’exposition aux radiations sur le site de Fukushima comme cause du cancer d’un ancien employé de la centrale.
Le doute planait depuis l’accident. C’est la première fois que l’exposition à la radioactivité sur le site de Fukushima est officiellement mise en cause dans le cas du cancer qui atteint les employés de l’usine touchée par le tsunami.
Le cas qui a levé le doute est celui d’un trentenaire ancien ouvrier du site de Fukushima. Il avait travaillé sur la centrale d’octobre 2012 à décembre 2013. Des mois auparavant, il avait travaillé sur un autre site nucléaire.
A part cette première reconnaissance, les autorités ont déclaré que trois autres ex-employés du site de Fukushima sont toujours en cours d’examen. Plusieurs autres dossiers soumis par d’anciens travailleurs avaient été repoussés.