George Walker IV/AP/SIPA
Le rapport d’autopsie, dévoilé par des médias brésiliens le mercredi 27 décembre, indique que la tragique disparition de l’admiratrice de Taylor Swift, survenue en novembre lors d’un concert de l’Américaine à Rio en pleine vague de chaleur, a été attribuée à un cas d’"épuisement thermique".
La femme de 23 ans, faisant partie des 60 000 spectateurs du tout premier spectacle parmi les six du ’The Eras Tour’ au Brésil, a perdu la vie en raison d’un "épuisement thermique" lié à une exposition prolongée à la chaleur. Cela a provoqué un "choc cardiovasculaire" ainsi qu’une hémorragie pulmonaire, aboutissant à une "mort subite", rapportent les médias comme Ouest-France. C’est la presse brésilienne qui a divulgué ce rapport de la police civile de l’État de Rio de Janeiro. Interrogée par l’Agence France-Presse, l’institution a déclaré ne pas avoir l’intention de rendre ces informations publiques et n’a pas confirmé leur véracité.
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Plusieurs admirateurs ont exprimé leur mécontentement concernant l’interdiction d’amener des bouteilles d’eau à l’intérieur du stade Nilton Santos, surtout étant donné que la sensation thermique approchait les 60 degrés le jour du show. Le lendemain du drame, Taylor Swift a partagé sa profonde tristesse, repoussant le concert suivant de deux jours. De plus, celui-ci a débuté une heure plus tard que l’horaire initial. Le responsable de la société en charge de la production de la tournée de ’Tay Tay’ au Brésil, Serafim Abreu, qui occupe le poste de PDG de Time For Fun, a par la suite formulé ses "excuses", reconnaissant qu’il aurait dû "prendre des mesures supplémentaires, comme l’installation de zones d’ombre à l’extérieur (du stade où a eu lieu le concert) ou le changement de l’horaire des concerts".
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