Lundi 8 août, l’ancien président américain Donald Trump a annoncé la perquisition de la police fédérale dans sa résidence à Mar-a-Lago, en Floride.
Donald Trump a annoncé, lundi 8 août, que sa villa à Mar-a-Lago, en Floride, a été la cible d’une perquisition du FBI. Dans sa déclaration, partagée sur le réseau Truth Social, l’ancien président américain a indiqué ne pas avoir été prévenu de cette investigation de la police fédérale. Donald Trump a dénoncé une persécution politique digne d’un pays du tiers-monde.
Selon le Washington Post, relayé par le site 20minutes.fr, le FBI disposait d’un mandat de perquisition sur des documents confidentiels, potentiellement illégaux, emportés par l’ex-président des États-Unis lorsqu’il a quitté la Maison-Blanche. Auparavant, le milliardaire américain avait déjà été contraint de retourner des documents sensibles de la Maison-Blanche aux Archives nationales américaines.
L’assaut du Capitole, au mois de janvier, a marqué l’histoire des États-Unis. Dix-huit mois plus tard, le rôle exact de Donald Trump dans cette invasion reste sans réponse. L’agence Archives nationales américaines avait demandé à la justice d’ouvrir une enquête sur l’implication de l’ancien président américain dans l’assaut.
Selon plusieurs médias américains, relayés par le site france24.com, l’agence indépendante du gouvernement des États-Unis avait récupéré quinze cartons de documents dans la résidence de Donald Trump. "En vertu d’une loi de 1978, tout président américain doit transmettre l’ensemble de ses e-mails, lettres et autres documents de travail à cette agence, chargée de les conserver", a-t-elle assuré.
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