Le drame a eu lieu après que ses parents aient découvert que leur fille avait été exclue de l’université.
Selon les informations de Fox News rapportées par RMC et Yahoo, la jeune femme de 23 ans a simulé un cambriolage en brisant une fenêtre de leur domicile. Lorsque la police est arrivée sur les lieux, elle a prétendu qu’un intrus s’était introduit chez eux, que sa mère lui avait dit de fuir, et qu’à son retour, elle avait découvert sa mère décédée. Cependant, d’après les résultats de l’autopsie, sa mère avait été violemment frappée à la tête avec une poêle en fonte. Ce n’est pas tout. La victime a été poignardée près de 30 fois avec un couteau de cuisine.
Elle a été reconnue coupable du meurtre de sa mère âgée de 50 ans dans l’Ohio aux États-Unis. Elle a été inculpée pour meurtre, agression criminelle et altération de preuves. Malgré un diagnostic de maladie mentale, les experts psychologiques ont conclu qu’elle était consciente de ses actes au moment du meurtre de sa mère.
Tout a commencé en mars 2020 lorsque le père de la jeune femme a tenté de payer les frais de scolarité de sa fille à l’Université Mount Union dans l’Ohio, comme il le faisait chaque trimestre. Mais cette fois-ci, il a découvert qu’il ne pouvait pas accéder au site web de l’université. C’est à ce moment-là que sa fille, âgée de 19 ans à l’époque, a finalement avoué la vérité à son père : elle avait été exclue de l’université depuis plusieurs mois en raison de ses mauvaises notes. Elle avait continué à vivre sur le campus sans que ses parents ne soient au courant, jusqu’à ce qu’elle soit expulsée de son internat en février 2020. Elle avait ensuite séjourné dans différents hôtels pour dissimuler sa situation à ses parents.
Lorsque le père a partagé cette révélation avec sa femme, celle-ci a tenté de contacter les responsables de l’université pour obtenir des informations. Au cours de l’appel, des bruits sourds et des cris répétés ont été entendus par les responsables de l’université, avant que la communication ne soit brutalement interrompue.