Dès le 21 janvier, le lendemain de son investiture, Donald Trump prévoit de mener de vastes opérations pour interpeller et expulser des migrants en situation irrégulière.
Dès le lendemain de l’investiture de Donald Trump, des opérations ont été planifiées, selon le Wall Street Journal, pour arrêter et expulser des migrants en situation irrégulière. Chicago, une ville sanctuaire refusant de collaborer avec les autorités fédérales, a été désignée comme point de départ. Cette campagne, menée par environ 200 agents fédéraux, cible prioritairement les personnes en situation irrégulière ayant des antécédents judiciaires. Cependant, toute présence illégale entraîne également des arrestations. L’administration Trump annonce une intensification des contrôles à l’échelle nationale, avec des interventions prévues dans plusieurs grandes villes, relaie Le Figaro.
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D’après le New York Post, une opération d’arrestation massive est également programmée à New York, une autre ville sanctuaire. Le maire démocrate Eric Adams, ancien policier, a rencontré Tom Homan, responsable des frontières sous l’administration Trump, en décembre. L’édile a affirmé vouloir protéger les immigrés travailleurs, tout en prenant des mesures fermes contre les criminels. Cette rencontre a suscité des critiques de la part des associations de défense des migrants, craignant un durcissement des politiques locales. New York, avec 8,5 millions d’habitants, dont 500 000 sans-papiers, est submergée par un afflux massif de migrants, surtout depuis 2022.
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