Le groupe islamiste Ansaru a annoncé l’exécution de 7 otages étrangers, enlevés le 7 février au Nigéria. Information qui n’est pas confirmée par les autorités nigérianes ou des pays d’origine des otages.
L’inquiétude grandit pour les familles des otages détenus au Sahel. Le groupe islamiste, lié à la cellule d’AQMI - Al-Qaïda au Maghreb islamique - a déclaré avoir abattu sept otages étrangers. Il s’agirait d’employés du bâtiment de la société libanaise Setraco enlevé le 7 février dernier, précise Le Monde.
C’est le même groupe djihadiste qui avait revendiqué l’enlèvement de Francis Collomp le 20 décembre 2012. L’otage français qui réside à La Réunion est retenu contre son gré depuis 81 jours maintenant.
Parmi les otages qui auraient été tués hier se trouvaient "deux Libanais, deux Syriens, un Grec, un Italien et un Britannique", indique Le Monde qui cite les informations données par la police nigériane.
Mais l’information n’a pas été confirmée ni par les autorités nigérianes ni par les pays d’origine des otages. La direction de Setraco n’a également pas certifiée ces exécutions.